Une foule de curieux étaient réunis sur la cale du port de
Lesconil, samedi 30 juin, pour assister à la mise à l’eau de deux
misainiers, Ngalem et Scrafic.
Depuis la pose de la quille, en novembre dernier, plus de 1 000 heures de travail ont été nécessaires à Vincent et Marie Scuiller, du chantier naval Le Vivier, pour construire et gréer le Ngalem, un misainier de 5,50 mètres de long pour 2,10 m de large, qui reprend en partie les lignes et caractéristiques du « Sauveur des petits ».
Philippe Geslin, le propriétaire, l’a appelé Ngalem, nom à consonance bretonne mais qui vient de la langue Massai sur les plateaux de Tanzanie et qui signifie coutelas.
Les deux voiliers sont allés rejoindre dans le port la petite flottille de misainiers, pour la plupart construits par le chantier bigouden.
Depuis la pose de la quille, en novembre dernier, plus de 1 000 heures de travail ont été nécessaires à Vincent et Marie Scuiller, du chantier naval Le Vivier, pour construire et gréer le Ngalem, un misainier de 5,50 mètres de long pour 2,10 m de large, qui reprend en partie les lignes et caractéristiques du « Sauveur des petits ».
Philippe Geslin, le propriétaire, l’a appelé Ngalem, nom à consonance bretonne mais qui vient de la langue Massai sur les plateaux de Tanzanie et qui signifie coutelas.
L’oiseau qui pique
Scrafic, l’oiseau qui pique, en breton, est un bateau déjà connu de Lesconil. C’est l’un des derniers misainiers construit en 1965, au chantier Le Cœur. Le chantier Le Vivier l’a refait à neuf pour son nouveau propriétaire, Philippe Henot.Les deux voiliers sont allés rejoindre dans le port la petite flottille de misainiers, pour la plupart construits par le chantier bigouden.
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