Mise en cale sèche du Marité



La foule était au rendez-vous hier matin sur le quai et l'effervescence à son comble pour le passage du Marité dans les portes du port avant de rejoindre la digue extérieure pour une mise en cale sèche pour terminer les travaux de propulsion du navire.

Manoeuvre délicate. C'est remorqué par un chalutier et guidé par de nombreux bateaux pneumatiques que le Marité a largué ses amarres et passé les portes pour sortir du port. « La manoeuvre a été très délicate car on ne remorque pas un navire de 130 tonnes comme cela. Le savoir faire du patron du chalutier François-Hélie, Gérard Lescroël, a été pour beaucoup dans la réussite de ce déplacement », expliquent les responsables de la manoeuvre. Ensuite, poussé par des pneumatiques, le terre neuvier a été placé le long de la digue extérieure afin qu'il puisse s'échouer à marée basse.

Des travaux au sec. Après avoir effectu é la pose des trois mâts et remis en place le moteur d'origine, les derniers travaux liés à la navigation vont pouvoir être effectués. « Cette mise au sec va permettre aux entreprises de poser le tube d'étambot, une nouvelle hélice et un gouvernail plus important que le précédent afin que le Marité puisse mieux manoeuvrer », explique le directeur du groupement d'intérêt public en charge des travaux Olivier Lemaignan.

« Les travaux vont également concerner les différents perçages des arrivées d'eau, sondes et autre. Le coût de ces travaux s'élève à environ 300 000 € et sont effectués par des entreprises locales. »

À Granville le 14 mai. Le 11 mai, le Marité quittera le Val-de-Saire pour rejoindre son port d'attache Granville. « Le navire sera alors en configuration de navigation. Nous avons eu l'autorisation des affaires maritimes pour ce transfert en convoyage », explique Lionel Lemaignen.

« Les travaux se poursuivront à Granviille avec la fin du gréement, l'accastillage du pont, la mise en place des deux timoneries et l'aménagement intérieur. Le tout pour un budget de 1, 3 millions d'euros. Le planning est respecté et la fin des travaux est prévue en juin 2012. Le budget total des travaux du Marité s'élèvera alors à environ 5 millions d'euros. » À noter aujourd'hui le départ du village, qui sera installé à Granville dans les prochains jours.





Source OuestFrance.

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Japon : le bilan du séisme et du tsunami


10 jours après le séisme et le tsunami qui ont frappé le Japon, le pays fait face à un autre danger : la radioactivité. Dimanche, le gouvernement a conseillé à la population de ne plus boire l’eau du robinet car le niveau de la radioactivité dans celle-ci a nettement augmenté.

Le porte-parole du ministère japonais de la Santé a déclaré dimanche que le niveau d’iode 131 dans l’eau du robinet du côté de Dai-ichi, un village à 30 km de Fukushima, est 3 fois plus élevé que la normale. Il a donc conseillé aux habitants de ne plus en boire bien que les chercheurs ont déclaré que le taux actuel ne présentait pas de danger pour la santé. Par précaution, le gouvernement a décidé de fournir de l’eau potable à cette partie de l’île.
Du côté de Fukushima, la compagnie Tepco continue toujours à chercher à réduire le danger nucléaire par tous les moyens. Les toits des bâtiments des réacteurs 5 et 6 ont été percés par les ouvriers afin d’éviter l’explosion de l’hydrogène. Le premier souci de cette compagnie est de rétablir le courant pour alimenter les six réacteurs grâce à la ligne haute tension tirée dans la centrale vendredi dernier. Pour le moment, ce sont des groupes électrogènes qui fournissent l’électricité à ces réacteurs et selon le représentant de la Tepco, la température dans la piscine de refroidissement serait revenue presque à la normale.
Le gouvernement japonais a également fait savoir dimanche dernier que la centrale de Fukushima sera fermée dès que la situation sera maîtrisée. Elle sera donc la plus grande ruine nucléaire au monde devant Tchernobyl qui ne contenait que 4 réacteurs.
Du côté humanitaire, les Japonais, déjà meurtris par le séisme et le tsunami ainsi qu’aux caprices du temps, ont de nouveau été victimes d’un autre tremblement de terre ce weekend. D’une magnitude de 4.7 sur l’échelle de Richter, le mouvement de la terre a été ressenti jusque dans les zones ravagées de Fukushima. Heureusement, on n’a compté aucun dégât matériel ni blessé.
Si les secouristes n’ont plus guère d’espoir de retrouver des survivants, deux autres miraculés ont été retrouvés dimanche sous les décombres. Une femme de 80 ans et un jeune de 16 ans ont été sortis des débris, ils étaient en hypothermie mais étaient bien conscients, ils ont rapidement été évacués par hélicoptère à l’hôpital.
Le bilan de ces 10 jours après le séisme et le tsunami au Japon s’alourdit de jour en jour. Dimanche matin, la police nationale japonaise a annoncé qu’il y avait actuellement 8.133 morts recensés et 12.272 personnes disparues.

Un article de LINFO.re




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La surveillance sismique sous-marine

La situation en France et dans le monde

Par Louis Géli



Dans le secteur civil, la surveillance sismique sous-marine recouvre essentiellement deux domaines d'applications concernant, respectivement, les risques sismiques et l'étude de l'intérieur de la Terre. Les enjeux socio-économiques associés aux risques sismiques sont importants. Les enjeux des applications à l'étude de la structure interne de la Terre sont d'ordre scientifique et technologique, dans un domaine d'excellence de la France, mais de forte concurrence internationale, notamment avec le Japon et les États-Unis. Ce document vise à faire le point sur la situation de la surveillance sismique sous-marine pour chacun de ces deux domaines, à situer la place de la France au plan international et à analyser, dans ce contexte général, quel pourrait être le rôle de l'Ifremer.


Qu'est-ce qui fait trembler la terre?

à l'origine des catastrophes sismiques

Pascal Bernard


Depuis des siècles, des hommes tentent de comprendre les séismes, pour mieux agir. C'est surtout durant ces dernières décennies que les plus grands progrès ont été réalisés : mouvements d'une faille, propagation des ondes, comportement critique... De nouveaux concepts ont émergé, auxquels l'auteur nous initie et qu'il confronte à son expérience de terrain. Saura-t-on un jour prévoir les séismes grâce à ces connaissances ? Ne vaut-il pas mieux se prémunir contre de telles catastrophes ?


Le tsunami a touché Santa Cruz.

L’impact du tsunami qui a atteint les États-Unis était minuscule, comparé à la dévastation causée au Japon.

Malgrès sa perte de puissance en traversant le Pacifique, des vagues de 2,50 mètres ont frappé, ne causant que des dégâts matériels.
Des dizaines de bateaux ont été ballottés et détruits par les vagues. Les pontons n’ont également pas résisté.

Les Grands Tsunamis de l'Histoire

1703 - Japon
En 1703, à Awa, au Japon, les vagues générées par un tsunami font 100 000 victimes.


1883 - Krakatoa
Les 26 et 27 août 1883, l'île de Krakatoa est détruite par de spectaculaires explosions sous-marines. L'explosion du volcan projette des cendres à 80 km de hauteur et est entendue jusqu'en Australie, à 4000 km de là. Les îles voisines sont ensevelies sous 60 mètres de cendres et de débris volcaniques. L'effondrement du volcan déclenche une série de tsunamis. La vague la plus haute, qui atteint 35 mètres, dévaste près de 300 villes et villages côtiers de Java et Sumatra, faisant 36 000 morts.


1946 - Hawaï
Le 1er avril 1946, un violent tremblement de terre est enregistré près de Dutch Harbor, dans les îles Aléoutiennes. Un important tsunami traverse l'océan Pacifique et frappe Hawaï. Honolulu et la baie d'Hilo sont les zones les plus touchées. À Hilo, on compte 95 morts, un mur d'eau de 10 mètres s'étant abattu sur la ville. Le tsunami balayera aussi la côte ouest américaine, mais sans provoquer beaucoup de dommages.


1960 - Chili, Hawaï, Japon et Philippines

Le 22 mai 1960, un séisme de 8,3 à l'échelle de Richter se produit près de la côte chilienne. Un tsunami détruit ou endommage toutes les villes côtières sur une distance de 900 km, faisant 2000 victimes au Chili. Poursuivant son chemin, la vague voyage sur 10 000 km jusqu'à Hawaï. À Hilo, le tsunami fait 61 morts. Vingt-deux heures plus tard, après avoir encore franchi 5000 km, des vagues de 6 à 10 mètres font plus d'une centaine de victimes au Japon et aux Philippines.


2004 - Indonésie, Sri Lanka, Inde, Thaïlande
Le 26 décembre 2004, un séisme d'une magnitude de 9 sur l'échelle de Richter se produit dans l'océan Indien, au large de l'île indonésienne de Sumatra. Les vagues géantes qu'il engendre frappent une dizaine de pays, faisant près de 300 000 victimes. Les plus touchés sont l'Indonésie, le Sri Lanka, l'Inde et la Thaïlande, mais on compte aussi une centaine de morts en Malaisie et au Myanmar. Les vagues atteignent les côtes africaines de la Somalie, du Kenya et de la Tanzanie, où elles font quelque 300 morts.






En Savoir Plus sur RadioCanada.ca

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Le tsunami ravage la ville de Kamaishi



Japon: Le tsunami balaie la ville de Kamaishi (Préfecture de Iwate, nord-est du Japon).
Japan: Tsunami sweeps through Kamaishi City (Iwate Prefecture, north-eastern Japan).
La ville de Kamaishi filmée pendant sa destruction par le tsunami, sous les yeux des habitants réfugiés sur les hauteurs...
Le Japon frappé par un tsunami provoqué par un tremblement de terre d'une magnitude de 8.9 sur l'échelle de Richter. Le 11 mars 20011 (11.03.2011)
Tsunami hits coast : A tsunami strikes the coast of Japan

Tsunami-Japon: un bateau de pêche en difficulté

Sur ces images, les premières vagues du tsunami mettent un bateau de pêche en difficulté, au large de Sendai, puis viennent submerger l'aéroport.


Japon : nouvelles images du Tsunami

la ville de Myako est submergée par une vague de 4 mètres.

Un violent séisme et un tsunami de dix mètres a frappé le Japon





Le plus fort séisme jamais enregistré au Japon (magnitude 8,9) a frappé vendredi le nord-est de l'archipel, suivi d'un tsunami de dix mètres, faisant des centaines de morts et de disparus


Des images de bateaux chavirés, de maisons inondées et de voitures submergées par les eaux. Une énorme vague de boue et de débris qui déferle à grande vitesse à travers les champs et les routes, dévastant tout sur son passage. Ce sont les images qui passaient boucle sur la télévision japonaise vendredi après le séisme de magnitude 8,9 qui a frappé le pays. A certains endroits, l'eau a même pénétré jusqu'à cinq kilomètres à l'intérieur des terres.





"Le nombre de personnes tuées est considérable", a déclaré le porte-parole du gouvernement, sans citer de chiffres. Selon un bilan provisoire établi par la police vendredi soir, le séisme et le tsunami ont fait au moins 330 morts, 531 disparus et près de 627 blessés. L'agence de presse Kyodo affirmait elle que le séisme avait fait au moins 1.000 morts.





Dégâts considérables

Outre 137 personnes dont le décès a été confirmé dans diverses régions du nord et de l'est, 200 à 300 corps ont été découverts sur une plage de Sendai, dans la préfecture de Miyagi. Dans la même préfecture, un train de passagers, avec un nombre inconnu de personnes à bord, était toujours porté disparu. Toujours à Miyagi, un bateau avec une centaine de personnes à son bord a été emporté, sans que l'on connaisse le sort des passagers.




Dans la préfecture de Fukushima, un barrage a cédé et des maisons ont été emportées. Selon le ministre de l'Industrie, Banri Kaieda, une petite fuite nucléaire était aussi à craindre dans une centrale de la préfecture. Le gouverneur a donc ordonné l'évacuation de 6.000 personnes résidant dans un rayon de trois kilomètres et les autorités s'apprêtaient à relâcher de la vapeur radioactive afin de faire retomber la pression qui s'est élevée dans un réacteur.

Le ministère de l'Industrie a indiqué que les onze réacteurs nucléaires de la région s'étaient automatiquement arrêtés. Selon Kyodo, un incendie a touché un bâtiment abritant une turbine dans la centrale nucléaire d'Onagawa (Miyagi), mais le sinistre a été éteint. Aucune autre fuite radioactive n'a été détectée.




A Tokyo, à environ 380 kilomètres de l'épicentre, les gratte-ciel, construits sur des structures parasismiques spéciales, ont tangué pendant de longues minutes après le séisme. Un toit s'est effondré sur un bâtiment du centre-ville où 600 étudiants participaient à une cérémonie de remise de diplômes, faisant de nombreux blessés.

Dans les bureaux et les habitations, des objets ont chuté des étagères, les ascenseurs ont été automatiquement arrêtés, tandis que des millions de personnes se précipitaient dans les rues.

Une dizaine d'incendies ont été signalés dans la capitale et une raffinerie de pétrole était en feu à Iichihara et des flammes s'élevaient à plusieurs dizaines de mètres de hauteur.





Le pays paralysé

Le gouvernement a dépêché des navires et des soldats pour participer aux secours, ainsi que des avions pour observer la situation. Le ministère de la Défense est également prêt à envoyer 300 avions et 40 navires pour participer aux secours.

Le commandant en chef de l'armée, le général Ryoichi Oriki, a annoncé que les Forces d'autodéfense et les forces américaines stationnées dans l'archipel avaient formé un groupe de liaison pour organiser les opérations.

L'aéroport international de Narita, situé à une cinquantaine de kilomètres à l'est de Tokyo, a suspendu le trafic pendant plusieurs heures. Il a annoncé dans la soirée que les opérations reprenaient progressivement.

Les transports ferroviaires et routiers ont aussi été interrompus dans une grande partie de l'archipel, en particulier dans Tokyo et sa région, bloquant des millions de personnes qui ont pris d'assaut les hôtels de la ville ou bien tentaient de regagner leur domicile à pied. Les trains express Shinkansen ont aussi été stoppés dans tout le nord-est et les autoroutes de la région de Tokyo fermées quelques minutes après le tremblement de terre.

Dans la soirée, plus de quatre millions de foyers étaient privés d'électricité.





Alerte tsunami dans le Pacifique

Plusieurs fortes répliques de magnitude supérieure à 6, voire 7, se sont produites et ont été ressenties jusque dans la capitale. En 1923, la ville de Tokyo avait déjà été dévastée par un séisme majeur, qui avait fait 140.000 morts. Plus récemment, en 1995, le séisme de Kobe (ouest) avait fait plus de 6.400 morts.

A la suite du séisme survenu vendredi matin, la plupart des États riverains du Pacifique ont émis des avis d'alerte au tsunami. Mais aucun dégât important n'avait été signalé dans la soirée en dehors de l'archipel nippon.






Des zones côtières ont été évacuées préventivement aux Philippines, aux Mariannes, en Polynésie française, à Guam, à Hawaï, en Equateur, au Canada et dans d'autres pays. même Un "avertissement", alerte de niveau intermédiaire, a même été émis pour une partie de la Californie, une partie de l'Alaska et l'Etat de Washington, où il a été demandé aux habitants de quitter plages, ports et marinas. Une mesure identique a été prise au Canada.




Source de l'info SudOuest.fr


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Musée de la marine à Brest

Visite du château de Brest et du musée de la marine.


Maquettes de bateaux de la lagune


Il existe une centaine de barques et bateaux de la lagune.

Si certains persistent encore de nos jours, nombreux sont ceux qui sont historiques.

Gilberto Penzo reconstruis en maquette toutes les barques, leur environnement et même les chantiers navals. Pour certaines embarcations, il lui faut chercher les secrets de fabrication, dans des archives ou dans le témoignage d'anciens artisans du bois. Gilberto Penzo n'est donc pas un simple maquettiste. Il n'est pas seulement, vous l'avez compris, un artisan, mais c'est l'historien, la mémoire des bateaux de la lagune. Avouez qu'il y a une âme dans ses maquettes en bois.


Gilberto Penzo possède un atelier, une boutique et un site web. Il est également l'auteur de nombreux livres sur la batellerie de la lagune. Boutique Calle seconda dei saoneri San Polo, 2681 .







Site de Gilberto Penzo

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La reconstruction du Bluenose II


Les responsables de la restauration du fameux voilier Bluenose II en Nouvelle-Écosse affirment que les travaux respectent l'échéancier et le budget de 15 millions de dollars.

Ces jours-ci, les ouvriers assemblent la coque dans un hangar à Lunenburg. Ils utilisent surtout du bois importé qui résiste mieux à l'eau et à la moisissure que le bois local.

La goélette restaurée ressemblera davantage au Bluenose original que l'ancien Bluenose II. Les responsables des travaux estiment que le nouveau bateau sera en service pendant 50 ans.

Le bateau original a servi de 1921 à 1946. Il s'est distingué en remportant plusieurs courses internationales dans les années 20 et 30. Ce symbole de la Nouvelle-Écosse et du Canada est illustré sur la pièce de 10 ¢.

Le Bluenose II devrait reprendre la mer en 2012.


En savoir plus sur Radio-Canada.ca

Un projet de reconstruction de goélette


Berceau des vieux gréements, avec la bisquine granvillaise et l'arrivée prochaine du Marité, Granville, au riche passé maritime, pourrait bientôt vivre un beau chantier : celui de la reconstruction d'une goélette de 25 mètres.
L'initiative

Depuis des semaines, Michel Diss, ancien président du Comité des pécheurs amateurs granvillais (CPAG) et attaché à la voile traditionnelle, planche sur son projet et sur sa mise en place au sein de sa nouvelle association, Mer voile et pêche à Granville. « Il s'agit d'un projet de reconstruction d'une réplique du François Josephe. Une goélette construite à Granville au chantier Julienne, en 1885, pour le compte de l'armement granvillais Beust. Ce navire effectuait des campagnes de pêche en mer d'Islande »

Pour son concepteur, le projet est réalisable. « Ce n'est pas du rêve. J'ai déjà de très bonds contacts avec des partenaires financiers. De plus, le projet est éligible au Féder, le Fonds européen de développement économique régional ».

Ancien fabricant de meubles à Avranches, Michel Diss dispose d'un vaste atelier et d'un stock important de bois. « Je me réserverai tout l'aménagement intérieur ». Pour la réalisation de son projet, il considère comme primordiale la possibilité d'installer le chantier de construction sur le port. « J'ai reçu un bon accueil de la Ville et de la chambre de commerce. Mon projet est à l'étude ».

Un chantier école

Pour la réalisation de la goélette, les chantiers locaux, motoristes, voiliers et marchands d'accastillage seront sollicités. En outre, le chantier mené sur trois à quatre années, serait créateur de 8 à 10 emplois d'encadrement et de formateurs. « Ce chantier école, en partenariat avec des organismes comme Pole emploi, le Greta, les lycées et écoles de formation professionnelle, pourrait compter entre 10 et 15 apprentis ou stagiaires en formation. »

Autour de ce chantier de reconstruction, Michel Diss envisage de créer un ensemble d'expositions, temporaires ou permanentes, par exemple sur la pêche, la protection du milieu marin.

Quant à l'exploitation future de cette goélette granvillaise, Michel Diss entend compléter l'offre déjà présente à Granville. « Pas de concurrence avec navigation à la journée mais de la croisière à la semaine. Et à l'automne, cap vers la Méditerranée et la cote d'Afrique ».


Source de l'info OuestFrance

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