BEAUHARNOIS – Le démantèlement du navire Kathryn Spirit, abandonné depuis 2011 sur les rives du lac Saint-Louis à Beauharnois, a commencé.
Le découpage du navire doit être terminé d’ici la fin de l’été et toute trace du bateau devrait avoir disparu en 2019.
Le métal récupéré au cours du découpage sera vendu et récupéré de manière responsable.
Des opérations de décontamination avaient été prévues pour janvier dernier. Le Kathryn Spirit contient de nombreux contaminants comme de l’amiante et des BPC, ainsi que du plomb, du mercure, du cadmium et du chrome.
Actuellement isolée du lac Saint-Louis par un bassin de roches et un muret d’acier construit en 2016, l’épave demeure un risque environnemental important.
Le fédéral a accordé en octobre dernier un contrat de 11 millions $ pour démanteler l’épave du Kathryn Spirit. Une coentreprise créée sur mesure par les compagnies Englobe de Québec et Excavation René St-Pierre de Sherbrooke a décroché le contrat.
Cette dernière entreprise est celle qui avait placé le vieux bateau à Beauharnois, en 2011. La Ville avait fait bloquer les travaux de démantèlement, par crainte de pollution du lac Saint-Louis. Puis, le navire avait été vendu à une compagnie mexicaine qui a fait faillite.
Le découpage du navire doit être terminé d’ici la fin de l’été et toute trace du bateau devrait avoir disparu en 2019.
Le métal récupéré au cours du découpage sera vendu et récupéré de manière responsable.
Des opérations de décontamination avaient été prévues pour janvier dernier. Le Kathryn Spirit contient de nombreux contaminants comme de l’amiante et des BPC, ainsi que du plomb, du mercure, du cadmium et du chrome.
Actuellement isolée du lac Saint-Louis par un bassin de roches et un muret d’acier construit en 2016, l’épave demeure un risque environnemental important.
Le fédéral a accordé en octobre dernier un contrat de 11 millions $ pour démanteler l’épave du Kathryn Spirit. Une coentreprise créée sur mesure par les compagnies Englobe de Québec et Excavation René St-Pierre de Sherbrooke a décroché le contrat.
Cette dernière entreprise est celle qui avait placé le vieux bateau à Beauharnois, en 2011. La Ville avait fait bloquer les travaux de démantèlement, par crainte de pollution du lac Saint-Louis. Puis, le navire avait été vendu à une compagnie mexicaine qui a fait faillite.
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