Immobilisé depuis mardi, il attend le secours d'un brise-glace australien dans la soirée de dimanche. Deux autres brises-glaces, un français et un chinois, ont failli à le secourir.
Bloqué depuis mardi. Le MV Akademik Shokalskiy, un navire battant pavillon russe, a été piégé ce jour-là par les glaces près de l'Antarctique, à une centaine de milles nautiques à l'est de la base française Dumont d'Urville. Après deux opérations de sauvetage avortées, ses 74 passagers se préparaient dimanche à une nouvelle journée d'attente incertaine.
Faute de capacités suffisantes, deux brises-glaces, un français et un chinois, ont en effet dû rebrousser chemin. Dimanche soir, c'est un brise-glace australien, l'Aurora Australis, qui doit à son tour voguer à leur secours. Mais sans garantie de parvenir à forcer l'épaisse couche gelée.
Si le bateau ne parvient pas à se frayer un passage, l'Autorité australienne de la sécurité maritime a néanmoins indiqué qu'elle essaierait "d'utiliser l'hélicoptère à bord du brise-glace chinois", à qui elle a "demandé de rester dans les parages".
Prisonnier de glaces de 3 mètres d'épaisseur
Des trois brise-glaces envoyés sur la zone, l'australien est celui qui possède les capacités les plus puissantes: il peut briser la glace d'une épaisseur de 1,60 mètre. Toutefois, l'Akademik Shokalskiy est prisonnier de glaces de 3 mètres d'épaisseur.
Le bâteau russe se trouvait dans une zone où les bâteaux peuvent normalement circuler à cette époque de l'année. C'est un brusque changement des conditions météo qui l'a poussé vers les glaces, a indiqué vendredi un des scientifiques à bord.
Et pendant ce temps, à bord du navire? Les passagers jouent à des jeux de société, regardent des films et descendent même sur la banquise pour aller regarder les manchots.
Source BFMTV
Maquette, Bateau, Plan, Modèlisme, Model Boats, Construction Nautique, Boatbuilding, Artisanat, Crafts, Boat Plans, Chants de Marins, Chansons de Marin, Ebook,BD,Livre Plans, Ship Model, Plan Boat Free, Plan Bateau Gratuit, Plans Maquettes Bateaux,
Lapérouse et ses compagnons en baie d’Hudson
(textes de Jean-François de Lapérouse et Paul Monneron), réunis par Alain Barrès.
Après le succès français de la Chesapeake et malgré la défaite des Saintes, l’état-major de la marine décide de lancer un raid à l’assaut des comptoirs anglais de la baie d’Hudson. Cet épisode qui prend sa source en 1782, sera décisif dans la carrière du navigateur albigeois, qui s’est plusieurs fois illustré pendant la guerre d’Indépendance américaine.
L’auteur Alain Barrès a toujours cherché à faire partager sa passion de l’histoire, de la mer et des bateaux par son métier d’enseignant mais aussi par son engagement associatif et ses recherches dans le domaine du patrimoine maritime, participant en particulier à la création du musée Lapérouse d’Albi.
Sur des textes de J.F. de Lapérouse et Paul Monneron, Alain Barrès met en lumière, un épisode peu connu de la Guerre d’Indépendance américaine. Pour cela, il présente plusieurs documents qui renouvellent notre connaissance de cet exploit maritime (journaux et récits inédits de Lapérouse lui-même, de Monneron et de La Jaille, commandant l’Engageante), et ouvre de nouvelles perspectives sur les personnalités de Lapérouse, Langle et Monneron.
Par ailleurs, un rapide historique de la Compagnie de la baie d’Hudson rappelle ce que fut pendant plus d’un siècle la rivalité franco-anglaise dans cette région hostile et méconnue.
A savoir :
Dans le domaine de la littérature de voyage maritime, la mise en parallèle des témoignages, la rigueur du journal de bord de Lapérouse, le récit érudit et souvent émouvant de Monneron nous donnent l’occasion rare de partager ce qu’était la vie difficile, mais exaltante, de ces marins d’exception engagés dans les bouleversements de la fin du XVIIIe siècle.
Préfacé par Marie-Christine Pestel, Présidente honoraire de l’Association Lapérouse Albi-France, ce livre est en vente au prix public de 26,50 euros.
Source de l’article : http://ladecouvrance.blogspot.fr
Après le succès français de la Chesapeake et malgré la défaite des Saintes, l’état-major de la marine décide de lancer un raid à l’assaut des comptoirs anglais de la baie d’Hudson. Cet épisode qui prend sa source en 1782, sera décisif dans la carrière du navigateur albigeois, qui s’est plusieurs fois illustré pendant la guerre d’Indépendance américaine.
L’auteur Alain Barrès a toujours cherché à faire partager sa passion de l’histoire, de la mer et des bateaux par son métier d’enseignant mais aussi par son engagement associatif et ses recherches dans le domaine du patrimoine maritime, participant en particulier à la création du musée Lapérouse d’Albi.
Sur des textes de J.F. de Lapérouse et Paul Monneron, Alain Barrès met en lumière, un épisode peu connu de la Guerre d’Indépendance américaine. Pour cela, il présente plusieurs documents qui renouvellent notre connaissance de cet exploit maritime (journaux et récits inédits de Lapérouse lui-même, de Monneron et de La Jaille, commandant l’Engageante), et ouvre de nouvelles perspectives sur les personnalités de Lapérouse, Langle et Monneron.
Par ailleurs, un rapide historique de la Compagnie de la baie d’Hudson rappelle ce que fut pendant plus d’un siècle la rivalité franco-anglaise dans cette région hostile et méconnue.
A savoir :
Dans le domaine de la littérature de voyage maritime, la mise en parallèle des témoignages, la rigueur du journal de bord de Lapérouse, le récit érudit et souvent émouvant de Monneron nous donnent l’occasion rare de partager ce qu’était la vie difficile, mais exaltante, de ces marins d’exception engagés dans les bouleversements de la fin du XVIIIe siècle.
Préfacé par Marie-Christine Pestel, Présidente honoraire de l’Association Lapérouse Albi-France, ce livre est en vente au prix public de 26,50 euros.
Source de l’article : http://ladecouvrance.blogspot.fr
Chine : mise à l’eau du nouveau navire de recherche scientifique le « Kexue ».
De conception chinoise « le Kexue » a été mis à l’eau mercredi dans la province centrale du Hubei (une province de la République populaire de Chine, dont le chef-lieu est Wuhan). Le bateau, qui mesure 99,6 mètres de long et 17,8 mètres de large, est équipé d’un système de propulsion électrique, un type d’équipement encore jamais utilisé dans le monde pour des bateaux de recherche scientifique, a indiqué Yu Jianjun, ingénieur en chef du programme.
Le bateau compte aussi des équipements ultramodernes pour la détection marine, l’exploration atmosphérique, l’exploration sous-marine à grande profondeur et la recherche par télédétection, a expliqué M. Yu. La capacité de croisière du bateau atteint 15 000 milles nautique, avec une vitesse maximum de 15 nœuds.
La construction du bateau a commencé l’année dernière après approbation préalable de la Commission nationale pour le développement et la réforme en 2007. Son coût total est de 550 millions de yuans, et la date d’entrée en service de ce bateau est prévue pour juin 2012, a ajouté M. Yu.
Le bateau a été construit par la Wuchang Shipbuilding Industry Company Ltd.(chantier naval fondée en 1934, anciennement connu sous le nom de Wuchang), située à Wuhan, capitale de la province de Hubei. Il sera opéré par l’Institut d’océanologie sous l’égide de l’Académie des sciences de Chine.
Source AllBoatsAvenue
Catastrophe nucléaire de Fukushima : toute la chaîne alimentaire des fonds marins est désormais contaminée.
La centrale nucléaire de Fukushima, va être classée comme « incident grave » sur l’échelle internationale de classement des événements nucléaires. En effet, selon un communiqué de Tepco, le gérant de la centrale nucléaire de Fukushima, quelque 300 tonnes d’eaux hautement radioactives sont en train de fuir d’un réservoir accidenté. Une eau contaminée, classée en « incident grave », qui se mêle désormais aux liquides radioactifs qui se déversent déjà quotidiennement dans l’océan via des voies souterraines. D’après certains observateurs, on va droit vers une explosion du nombre de cancers.
Quel est alors l’impact de cette pollution radioactive sur les poissons destinés à être consommés ?
Les autorités japonaises se veulent rassurantes. Selon leurs études, 40% des poissons péchés autour de la zone accidentée sont impropres à la consommation et 36 espèces sont pour l’heure interdites à la vente. Un rempart sanitaire destiné à rassurer la population et les marchés. Soucieuse aussi de soutenir l’activité de la pêche, un des secteurs phares de l’économie de la région de Fukushima, Tokyo a même décidé de construire à l’entrée du port de Fukushima Daiichi, une barrière de deux mètres de hauteur, fixée au sol marin, pour empêcher les animaux hautement contaminés de s’échapper au large. Mais ces mesures sont-elles suffisantes pour contrer la propagation des radionucléides dans l’eau ? Sachant, que selon les experts, près de 16,1 milliards de milliards de becquerels (symbole : Bq), ont déjà été déversés dans la mer depuis juin 2011.
Rappel des faits :
Le Japon subissait à Fukushima le 11 mars 2011, la plus grande catastrophe nucléaire au monde depuis l’accident de Tchernobyl. A l’origine, un séisme de magnitude 9 sur les côtes du Pacifique engendre un imposant tsunami qui va déferler sur la centrale.
A savoir :
Contrairement à l’idée reçue, la majorité des poissons consommés dans les établissements japonais de l’Hexagone provient principalement de Norvège, de l’océan Indien et de la Méditerranée. Par ailleurs, depuis la catastrophe, tous les produits en provenance de la péninsule japonaise font l’objet de contrôles renforcés dans l’Union européenne.
Source AllBoatsAvenue
Quel est alors l’impact de cette pollution radioactive sur les poissons destinés à être consommés ?
Les autorités japonaises se veulent rassurantes. Selon leurs études, 40% des poissons péchés autour de la zone accidentée sont impropres à la consommation et 36 espèces sont pour l’heure interdites à la vente. Un rempart sanitaire destiné à rassurer la population et les marchés. Soucieuse aussi de soutenir l’activité de la pêche, un des secteurs phares de l’économie de la région de Fukushima, Tokyo a même décidé de construire à l’entrée du port de Fukushima Daiichi, une barrière de deux mètres de hauteur, fixée au sol marin, pour empêcher les animaux hautement contaminés de s’échapper au large. Mais ces mesures sont-elles suffisantes pour contrer la propagation des radionucléides dans l’eau ? Sachant, que selon les experts, près de 16,1 milliards de milliards de becquerels (symbole : Bq), ont déjà été déversés dans la mer depuis juin 2011.
Rappel des faits :
Le Japon subissait à Fukushima le 11 mars 2011, la plus grande catastrophe nucléaire au monde depuis l’accident de Tchernobyl. A l’origine, un séisme de magnitude 9 sur les côtes du Pacifique engendre un imposant tsunami qui va déferler sur la centrale.
A savoir :
Contrairement à l’idée reçue, la majorité des poissons consommés dans les établissements japonais de l’Hexagone provient principalement de Norvège, de l’océan Indien et de la Méditerranée. Par ailleurs, depuis la catastrophe, tous les produits en provenance de la péninsule japonaise font l’objet de contrôles renforcés dans l’Union européenne.
Source AllBoatsAvenue
« Sam Simon » le nouveau bateau de l’association Sea Shepherd.
Alors que l’ « Opération Tolérance Zéro » est lancée depuis le début novembre 2012 (nom donné à la neuvième campagne de protection des baleines en Antarctique), l’association Sea Shepherd à but non lucratif spécialisée dans la protection des baleines, des requins et des dauphins, a dévoilé mardi 11 décembre 2012, son nouveau bateau de lutte contre les baleiniers. Baptisé le « Sam Simon » nom donné en hommage au co-créateur de la série « Les Simpsons », qui a offert généreusement les fonds nécessaires au rachat de ce nouveau bateau anti-baleinier, serait, d’après les sources, fin prêt pour se rendre dans les océans proches de l’Antarctique.
Rappelons que Sea Shepherd a en permanence besoin de navires supplémentaires pour effectuer son travail de protection en mer. Ils ont besoin de tous types de navires, de la patrouille côtière (les bateaux de pêche de loisir avec de préférence un pont supérieur), aux canots gonflables (zodiacs ou équivalents, en passant par les monoplaces (jetskis à 4 temps, scooters des mers), et tous les autres types de navires et équipements marins. Et enfin, sachez que toute donation de bateau est déductible en tant que contribution à une œuvre de charité.
Source AllBoatsAvenue
Le Corbeau des mers ne peut plus naviguer
Ancien langoustier, le Corbeau des mers ne peut plus naviguer, faute de poulies. Un appel aux dons est lancé pour le restaurer.
Les travaux débuteront en 2014 à Lorient (Morbihan).
Le corbeau des mers, c’est le grand cormoran pour les marins bretons, mais c’est aussi un bateau à l’histoire singulière. Ce langoustier, patrimoine maritime, a rejoint l’Angleterre le 26 juin 1940 à l’appel du Général de Gaulle. Il est le seul témoin de l’épopée des Sénans en 1940.
Depuis, le Corbeau des mers a participé à de nombreuses rencontres de vieux gréements et a navigué. Construit en 1931, son état actuel ne le lui permet plus de naviguer, faute de poulies.
Une association – Les amis du Corbeau des mers – tente coûte que coûte de le sauver et lance un appel aux dons pour le restaurer. Les travaux débuteront en 2014 à Lorient..
Source ouestfrance
Le mythique vaisseau imaginé par Jules Verne sera au Nautic 2013
Jules Verne l’avait imaginé, Artyka l’a réalisé. Tout droit sorti de l’œuvre de Jules Verne, “20 000 lieux sous les mers“, avec sa carrosserie cuivrée et ses hublots, le Nautiloscope a traversé mers et océans pour enfin parvenir à vous. Au programme, un voyage imaginaire dans les profondeurs des océans, à la découverte de l’importance de l’eau. “L’imaginaire au service de l’environnement“, tel est le credo d’Artyka, l’association à l’origine de l’animation.
Le cycle de l’eau permet d’expliquer que ce que nous buvons est sans doute l’eau bue par les dinosaures il y a 280 millions d’années! L’important est donc de ne pas la polluer . De l’eau, on en retrouve tout autour de nous : dans les fruits et légumes, constitués pour la plupart à 85% d’eau, alors que pour l’homme cela représente tout de même 97%.
Spectaculaire avec ses 16 mètres de long et ses 5 mètres de haut, à l’intérieur du sous-marin, au milieu d’une lumière bleue et des écrans de bulles, l’immersion paraît réelle. Bien installé vous participez à une animation 3D et plongez dans le monde mystérieux des océans en suivant l’extraordinaire aventure du capitaine Nemo. Les mers et les océans ont disparu, à bord de son navire à roues, le capitaine, accompagné par un poisson, essaye de retrouver un océan avant que l’eau du bocal ne s’évapore. Affrontez avec le capitaine une tempête de sable, une attaque de mouettes et plein d’autres obstacles riches en sensations !
Une expérience incroyable qui fera appel à tous vos sens, munis de vos lunettes, vous serez plongé dans les mers et les océans pour une aventure unique ! Cette animation est proposée par l’association créée en 1995 Artyka.
Le Nautiloscope en partenariat avec la “Maud Fontenoy Fondation” sera cette année du 07 au 15 décembre 2013, à Paris, au Nautic 2013 – Parcs des Expositions Porte de Versailles. La présence de Maud Fontenoy au stand Artyka est annoncée le mardi 10 décembre de 15h00 à 16h00.
Source AllBoatsAvenue
Le cycle de l’eau permet d’expliquer que ce que nous buvons est sans doute l’eau bue par les dinosaures il y a 280 millions d’années! L’important est donc de ne pas la polluer . De l’eau, on en retrouve tout autour de nous : dans les fruits et légumes, constitués pour la plupart à 85% d’eau, alors que pour l’homme cela représente tout de même 97%.
Spectaculaire avec ses 16 mètres de long et ses 5 mètres de haut, à l’intérieur du sous-marin, au milieu d’une lumière bleue et des écrans de bulles, l’immersion paraît réelle. Bien installé vous participez à une animation 3D et plongez dans le monde mystérieux des océans en suivant l’extraordinaire aventure du capitaine Nemo. Les mers et les océans ont disparu, à bord de son navire à roues, le capitaine, accompagné par un poisson, essaye de retrouver un océan avant que l’eau du bocal ne s’évapore. Affrontez avec le capitaine une tempête de sable, une attaque de mouettes et plein d’autres obstacles riches en sensations !
Une expérience incroyable qui fera appel à tous vos sens, munis de vos lunettes, vous serez plongé dans les mers et les océans pour une aventure unique ! Cette animation est proposée par l’association créée en 1995 Artyka.
Le Nautiloscope en partenariat avec la “Maud Fontenoy Fondation” sera cette année du 07 au 15 décembre 2013, à Paris, au Nautic 2013 – Parcs des Expositions Porte de Versailles. La présence de Maud Fontenoy au stand Artyka est annoncée le mardi 10 décembre de 15h00 à 16h00.
Source AllBoatsAvenue
30 immigrants Haïtiens meurent après le naufrage de leur voilier
Le voilier de 12 mètres de long s’est retourné lundi soir près de l’île de Staniel Cay, au centre de l’archipel, pour une raison encore inconnue. Environ 30 immigrants haïtiens qui tentaient la traversée jusqu’aux Bahamas, sont morts lorsque leur voilier a chaviré au large des côtes de Staniel Cay, dans l’archipel des Bahamas, ont annoncé mardi les gardes-côtes américains. Les 110 autres personnes qui se trouvaient à bord ont pu être secourues. Selon les gardes-côtes, les passagers «s’accrochaient à la coque (voir vidéo ci-dessous)» de leur voilier de 12 mètres lorsque les secours sont arrivés sur place lundi soir.
Au total, 110 personnes ont été secourues par les gardes-côtes américains et les Forces de défense des Bahamas, à 15 milles (28 kilomètres) au sud-ouest de Staniel Cay. Alertés par leurs homologues des Bahamas, les gardes-côtes américains ont envoyé un hélicoptère qui est parvenu à secourir 13 personnes et a déployé un radeau de sauvetage. Deux autres appareils ont largué des vivres et des embarcations de secours, ont indiqué les gardes-côtes. Tous ceux qui avaient réussi à s’accrocher à la coque du navire ont pu être secourus, a expliqué à Mark Barney, un porte-parole.
Accident d’un ferry à Hong Kong : 85 blessés dont quatre grièvement.
D’après les premières informations, 85 personnes sur le ferry ont été blessées et, parmi elles, quatre sont considérées comme grièvement blessées. Au total, 115 personnes se trouvaient à bord du traversier ultra-rapide lors de la collision. Selon le département de la marine de Hong Kong, le ferry qui fait la liaison Hong Kong-Macao, aurait heurté en mer un “objet non identifié”.
L’accident sur la route de Macao s’est produit vers 01H20 (17H20 GMT jeudi) près de la petite île d’Hei Ling Chau. L’hydroptère “Madeira”, un bateau dont la coque s’élève et sort de l’eau grâce à la portance d’ailes immergées, transportait 105 passagers et 10 membres d’équipage lorsqu’il a heurté un objet, a indiqué la compagnie maritime TurboJet.
Trois bateaux des services de pompiers se sont rendus sur les lieux pour chercher l’objet contre lequel le ferry s’est heurté, mais ils n’ont rien trouvé dans l’eau, ont indiqué les autorités de Hong Kong. Après l’accident, le ferry a réussi à regagner un des terminaux du centre de Hong Kong, celui de Sheung Wan, où une douzaine d’ambulances attendaient les blessés
C’est le deuxième accident, en un peu plus d’un an, dans les eaux proches de Hong Kong, un des principaux ports du monde. L’ancienne colonie britannique est réputée depuis des décennies pour la sécurité de ses transports maritimes. Mais une collision entre deux ferries en octobre 2012, tout près des côtes, avait causé la mort de 39 personnes, plus grand désastre maritime à Hong Kong depuis quarante ans. Une enquête avait conclu à une «longue série d’erreurs» commises.
Source vidéo : http://lci.tf1.fr
Source de l’article : AFP
Le paquebot Ocean Countess victime d'un incendie
Le paquebot Ocean Countess a été victime, le 30 novembre, d’un violent incendie alors qu’il était amarré à Chalkis, en Grèce. Au mouillage près de la rive, à couple d’un vieux cargo, le navire est désarmé depuis plus d’un an. Il y avait à bord quelques membres d’équipage, qui n’ont semble-t-il pas été blessés. On ignore pour le moment les causes de l’incendie, qui s’est probablement déclaré dans un compartiment machine, ainsi que l’étendue des dégâts.
Construit au Danemark et achevé en Italie, le paquebot est entré en service en 1974 sous le nom de Cunard Countess. Armé jusqu’en 1996 par l'armement britannique Cunard, il a ensuite été cédé à différentes compagnies et exploité par de nombreux opérateurs, notamment au travers d’affrètements. Le dernier fut pour le Britannique Cruise & Maritime Voyage, au profit duquel l’Ocean Countess a été exploité entre 2010 et 2012.
Long de 163.5 mètres pour une largeur de 22 mètres, ce navire de 17.600 GT de jauge compte 400 cabines.
Source MerEtMarine
Naufrage d'un chalutier au Tréport
Le chalutier boulonnais Baie des Anges, d'une longueur de 16 mètres et avec 4 marins à son bord, s'est échoué dans l'après-midi du vendredi 29 novembre près de la jetée ouest du port du Tréport, en Seine-Maritime. L'équipage a rapidement été évacué grâce aux moyens nautiques des pompiers et à l'hélicoptère Dauphin de la Marine nationale basé au Touquet. Des marins militaires, spécialisés dans la lutte antipollution, ont été dépêchés sur place pour analyser l'état de la coque, le navire n'ayant pu être remorqué. Compte tenu de l'état du bateau, ils ont préconisé l'évacuation des débris du chalutier, qui s'est complètement disloqué au cours du week-end. L'armateur a été mis en demeure de procéder à leur enlèvement.
Source MerEtMarine
Source MerEtMarine
Sauvegarde du patrimoine maritime des phares et tourelles en mer et maintien de leur fonction de signal lumineux
Le patrimoine des phares en mer est un patrimoine exceptionnel et emblématique sur l'ensemble de notre littoral. Toujours au service de la navigation il est aussi le témoin de notre histoire maritime. Menacé par les éléments et les politiques de restriction sa sauvegarde et sa pérennisation ne sont pas certaines. Déjà de nombreuses dégradations ont eu lieu ou s'annoncent. Il est urgent de l'organiser au niveau national, ce que propose la Société Nationale pour le Patrimoine des Phares et Balises depuis de nombreuses années, afin de le transmettre aux générations futures.
Signez la pétition ICI
Signez la pétition ICI
Un kit de survie à louer pour «sauver une vie... »
Suite à la disparition, en avril, du Grain de soleil au large des Açores, un fonds de dotation vient d'être créé par les familles des victimes et les acteurs des recherches. Son but : aider à la sécurité en mer des navires qui traversent l'Atlantique.
« Si au bout de tout ça, on arrive à sauver une seule vie, on aura gagné ». Tel est le credo qui anime aujourd'hui les membres du collectif Grain de soleil, plus de six mois après la disparition du voilier éponyme. Le 24 avril dernier, le navire déclenchait sa balise de détresse à quelque 500 milles nautiques des Açores, zone balayée par une énorme dépression. Les recherches officielles ne donnant pas de résultat, un collectif prend rapidement le relais des autorités. Deux voiliers sont notamment affrétés pour quadriller la zone, des dizaines de navires se déroutent pour participer à l'effort de recherche. En vain.
Suite l'article sur le TeleGramme
« Si au bout de tout ça, on arrive à sauver une seule vie, on aura gagné ». Tel est le credo qui anime aujourd'hui les membres du collectif Grain de soleil, plus de six mois après la disparition du voilier éponyme. Le 24 avril dernier, le navire déclenchait sa balise de détresse à quelque 500 milles nautiques des Açores, zone balayée par une énorme dépression. Les recherches officielles ne donnant pas de résultat, un collectif prend rapidement le relais des autorités. Deux voiliers sont notamment affrétés pour quadriller la zone, des dizaines de navires se déroutent pour participer à l'effort de recherche. En vain.
Suite l'article sur le TeleGramme
Transport de fret à la voile : embarquement à bord du thonier Biche
La grand’voile et son gréement pèsent presqu’une tonne. Yann, le capitaine, regarde son équipage réparti de chaque côté du mât : quatre marins pour faire monter la voile, quatre autres pour faire suivre le pic – la vergue de la grand’voile -, il s’agit d’être précis dans la manœuvre. Les mains et les bras de l’équipage sont échauffées, la voile est haute et étarquée, le foc, la trinquette et le tape-cul sont envoyés : Biche, le vieux thonier de Groix, quitte la rade de Lorient, direction le large et le sud. Demain, Biche est attendu à Nantes. Le début d’un tour de Bretagne qui l’amènera de la Loire-Atlantique au pays bigouden, de Brest à Pornic, de Roscoff à Lorient. Pendant un mois, Biche se transforme en caboteur à voile et va transporter du fret entre les ports bretons.
Suite de l'article sur MerEtMarine
Suite de l'article sur MerEtMarine
Découvert vivant apres 2 jours dans une épave par 30 mêtres de fond - vidéo
C'est un miraculé qui a pu être récupéré sain et sauf de l'épave du Jason 4.
Une vidéo a pu être tournée lors de sa récupération, qui était fixée sur le casque de l'un des plongeurs, chargé de ramener à l'air libre le "cuistot" miraculé.
Une vidéo étonnante, quand à la sixième minute, le plongeur découvre le survivant !
Après 2 jours passé par 30 mètres de fond, le cuisinier miraculé a dû être placé dans une cloche de décompression pendant deux jours, à son arrivée sur le navire de sauvetage.
Une vidéo impressionnante, à déconseiller aux personnes claustrophobes, mais qui démontre bien que lors d'un naufrage, tout doit être entrepris pour retrouver d'éventuels survivants.
Source ActuaNautique