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Collision entre deux chalutiers. Un bateau coule, deux marins rescapés
Deux chalutiers, qui rentraient au port du Guilvinec après leur journée de pêche, sont entrés en collision.
Vers 15 h, le Squale II et le Gwenvidik, deux chalutiers de 14 mètres se sont heurtés pour des raisons encore inconnues à 4 milles du port du Guilvinec. Le Squale II a coulé, et ses deux marins ont sauté à l’eau. Les deux hommes du Gwenvidik les ont aussitôt récupérés.
Aucun blessé
L’équipage s’est ensuite attelé à colmater la voie d’eau du Gwenvidick, qui a regagné le port du Guilvinec vers 15 h 30, escorté par la vedette Men Meur de la SNSM du Guilvinec et par l’Alcyon, un bâtiment la Marine nationale qui s’est dérouté pour intégrer le dispositif de sauvetage et disperser "une légère nappe d'hydrocarbures". Mais "aucune pollution notable" n'est à signaler.
Dragon 29, l’hélicoptère de la sécurité civile, se tenait lui aussi prêt à intervenir. Aucun marin n’a été blessé.
Source OuestFrance
La plupart des "30" de Greenpeace relâchés
Presque tous les membres de l'équipage de l'Arctic-Sunrise, navire de Greenpeace arraisonné en septembre en Russie, étaient sortis de prison sous caution vendredi 22 novembre, mais la justice internationale a réclamé qu'ils puissent aussi quitter le pays. La diplomatie russe s'est empressée de déclarer qu'elle ne reconnaissait pas la compétence du Tribunal international du droit de la mer, qui a émis cette demande.
En fin de journée, 29 des 30 membres de l'équipage du navire, dont son capitaine, étaient sortis de prison, bénéficiant d'une libération sous caution après plus de deux mois de détention provisoire en Russie.
Le Tribunal de la mer, une juridiction des Nations unies compétente pour régler les litiges maritimes internationaux, sise à Hambourg, avait été saisi par les Pays-Bas. La diplomatie russe a d'ores et déjà déclaré que Moscou, qui a boycotté le procès, ne reconnaissait pas en ce cas précis la compétence du Tribunal international du droit de la mer, qui empiète selon elle sur son "droit souverain".
Les membres étrangers de l'équipage, libérés sous caution de 2 millions de roubles chacun (45 000 euros), ne peuvent quitter le territoire russe selon la décision des tribunaux de Saint-Pétersbourg, a indiqué le directeur exécutif de Greenpeace, Kumi Naidoo, qui se trouvait à l'audience.
"Nous continuons à discuter avec la Russie pour résoudre la question", a déclaré à la télévision publique le ministre des affaires étrangères néerlandais, Frans Timmermans.
Le capitaine de l'Arctic-Sunrise, l'Américain Peter Willcox, qui commandait en 1985 le Rainbow-Warrior dynamité par les services secrets français en Nouvelle-Zélande, est sorti vendredi de son centre de détention à Saint-Pétersbourg. "Nous menons des actions pacifiques et non violentes. C'est la première fois, la première fois en quarante ans, que je passe plus d'une nuit en prison. Et comme tous mes collègues, cela ne m'a pas plu", a déclaré à sa sortie ce militant de longue date de Greenpeace, âgé de 60 ans.
Un seul militant, l'Australien Colin Russell, a vu sa détention provisoire prolongée de trois mois, jusqu'au 24 février. Selon l'ambassadeur australien en Russie, il devrait faire appel et est confiant dans la décision qui sera rendue.
Le navire de l'ONG écologiste avait été arraisonné en mer de Barents le 19 septembre par un commando des gardes-côtes russes. L'équipage de 30 personnes, dont 28 militants de Greenpeace, avait été interpellé et incarcéré, d'abord pour piraterie, puis, fin octobre, pour hooliganisme.
Les militants avaient été interceptés alors qu'ils tentaient de déployer une banderole sur une plate-forme pétrolière du géant russe Gazprom pour protester contre l'exploitation énergétique de la région arctique.
Un gigantesque et mystérieux monstre marin a été découvert au Vietnam.
On ne sait pas d’où il vient, ni comment il est arrivé là, mais ce qui est sûr c’est qu’il agrémente les réseaux sociaux et fascine depuis quelques jours, les internautes du monde entier. Découvert la semaine dernière au Vietnam, cet énorme et mystérieux monstre de couleur sombre, ressemble à un imposant ver de terre doté d’une nageoire à son extrémité, ainsi que d’une puissante mâchoire.
Cette découverte postée par le site japonais Karapaia, spécialisé dans l’étrange et le bizarre, n’est apparemment pas une blague, et encore moins la scène d’un film de science-fiction ! Quelle est donc cette étrange créature échouée sur le sol ? La question reste pour l’instant sans réponse, et le mystère reste donc entier.
Le site japonais a posté la vidéo de l’excavation de cette créature, où nous pouvons voir des citoyens vietnamiens regarder l’animal en train d’être hissé et chargé sur une remorque. La créature, qui mesure plusieurs mètres de long et pèse visiblement plusieurs centaines de kilos a nécessité un treuil pour l’extraire du sol et la charger sur une remorque.
Un officier de la «Royale» jugé pour harcèlement moral après le suicide ...
Le procès de l'ancien commandant de la Marine nationale, Eric Delepoulle a lieu devant le tribunal correctionnel de Marseille. Cet officier supérieur est accusé par la famille de Sébastien Wanké, d'avoir poussé au suicide ce jeune homme de 32 ans, originaire de Buxy, en Saône-et-Loire. Les faits remontent à l'année 2010. Sébastien Wanké servait alors sous les ordres du commandant, en tant que majordome, à bord de la frégate La Fayette. Selon les témoignages concordants de nombreux membres de l'équipage, « il était devenu la bonne à tout faire du commandant » et « a été poussé à bout ». Le jeune homme s'est pendu le 15 juin dans sa cabine, au large de la Sicile, trois jours avant de retourner à Toulon, son port d'attache. Eric Delepoulle a été mis en examen en août 2010, après une plainte contre X pour « délits de harcèlement moral et provocation au suicide » par les proches du jeune homme. A l'époque, l'avocat du commandant mis en cause avait affirmé : "mon client conteste formellement les accusations". Selon lui, son client avait au contraire "amélioré la notation" du marin et était "effondré quand il avait constaté son suicide". "On pense que le sous-officier a craqué nerveusement après huit mois de campagnes difficiles dans l'océan Indien", consacrées notamment à la lutte contre la piraterie, a ajouté l'avocat.
“Bateau de l’enfer”
un an de prison et 6 000 euros d’amende ont été requis à l’encontre commandant de la frégate “La Fayette”, Eric Delepoulle.
Marseille “Bateau de l’enfer” : un an de prison et 6 000 euros d’amende ont été requis à l’encontre d’Éric Delepoulle, jugé lundi au tribunal correctionnel de Marseille et qui commandait la frégate La Fayette à l’époque du suicide, en juin 2010, du sous-officier lui servant de maître d’hôtel, Sébastien Wank. “Les peines du Code pénal“, un an de prison et 15 000 euros d’amende à l’époque des faits, deux ans et 30 000 euros pour les mêmes faits commis aujourd’hui, “ne semblent pas rendre justice à ce qui s’est passé“, a estimé le procureur adjoint Emmanuel Merlin, qui a toutefois souhaité “un éventuel sursis” pour la peine de prison.A noter, que l’ex-commandant de marine M. Delepoulle, est également poursuivi pour des faits similaires à l’encontre d’un autre marin, le maître Olivier Berger, un chef de cuisine qui a développé un psoriasis, et sera fixé sur son sort le 20 janvier 2014.
"Spindrift 2" pulvérise le record de l'Atlantique
Le maxi-trimaran Spindrift 2, skippé par le Français Yann Guichard et Dona Bertarelli, a battu mercredi le record de la Route de la découverte entre Cadix (Espagne) et San Salvador (Bahamas), franchissant la ligne d'arrivée à 6 h 48 heure française (5 h 48 GMT). Avec un temps de course de 6 jours, 14 heures et 29 minutes, le plus grand (40 mètres) trimaran de course océanique au monde a établi un nouveau record en équipage sur les 3 885 mille nautiques (7 195 km) théoriques du parcours, détrônant un autre grand trimaran, Groupama 3 de Franck Cammas, de 20 heures et 29 minutes. La Route de la découverte retrace le parcours de Christophe Colomb, qui, parti de Palos de la Frontera, près de Cadix, a atteint le "Nouveau Monde" en 1492. Le Monde.fr
Etonnant rouleau de nuage sur le Texas
Roulant comme une immense vague, un étrange nuage a parcouru le ciel de Timbercreek Canyon, au Texas, le 4 novembre. Le Monde.fr
Un "chasseur d'ouragans" filme Haiyan au moment de son passage
Le chasseur d'ouragans Jim Edds a filmé l'arrivée du typhon Haiyan lorsque celui-ci a atteint les côtes des Philippines, près de Tacloban, la semaine dernière. Relayées par la BBC, ces images montrent la violence des vents (parfois plus de 300 km/h). Habitué des cyclones, qu'il poursuit un peu partout sur la planète, Jim Edds confie avoir eu "peur". Aux Philippines, au moins 10 000 personnes auraient péri dans l'ouragan, l'un des plus puissants répertoriés. Le Monde.fr
Un bateau de croisière s’est échoué sur le Rhin avec plus de 200 passagers (VIDEO)
Un bateau de croisière s’est échoué ce mardi matin sur le Rhin, à la frontière entre Strasbourg et l’Allemagne, avec plus de 200 personnes à son bord. Les moteurs du navire seraient tombés en panne.
Le bateau de croisière « Viking Sun » s’est échoué ce matin vers 5 h 45 sur les rives du Rhin, à proximité de Strasbourg (Alsace). À son bord, 240 passagers et membres d’équipages. Le navire, victime d’une avarie moteur, s’est échoué à quelques mètres de la rive côté français.
Les 196 passagers, des Américains et Britanniques, et les 44 membres de l’équipage ont été transbordés sur un autre bateau, « La Bohème » puis débarqués côté allemand en fin de matinée. Il n’y a pas eu de voie d’eau sur le bateau, ni aucun blessé.
Les opérations de transfert se sont achevées à 11 h 50. Long de 139 mètres, le « Viking Sun » avait déjà heurté un ponton sur le Rhin le 1er octobre dernier. Les sapeurs-pompiers du Bas-Rhin ont envoyé 35 pompiers sur place.
Source LaVoixDuNord
VIDEO. Tacloban, une morgue à ciel ouvert après le typhon Haiyan
Médecins et autorités philippines redoutent une crise sanitaire majeure dans les zones frappées par le typhon Haiyan. La ville ravagée de Tacloban est confrontée à des épidémies dues à la présence de cadavres et au manque d'eau potable.
Les sinistrés traversent les décombres pour enterrer leurs parents ou leurs amis, tués lors du passage du typhon. "Je ne peux plus dormir, elle était une si bonne mère", confie un homme qui vient d'enterrer sa mère. Les cadavres sont placés dans des sacs mortuaires mais, trop nombreux, ils gisent à même le sol, le long des routes.
Les sinistrés se protègent des odeurs avec des masques. Le travail immense d'identification des cadavres ne fait que commencer. Les rescapés blessés ou malades risquent un autre problème, puisque les hôpitaux sont débordés et sont, pour certains, à court de médicaments.
Des cyclones de plus en plus violents à l’avenir
« Le niveau des océans a augmenté de vingt centimètres en un siècle. C’est un facteur aggravant pour un cyclone tropical », explique J-P. Van Ypersele.
Des cyclones moins nombreux mais plus violents à l’avenir? Jean-Pascal Van Ypersele explique pourquoi les prévisions vont en ce sens.
Émotion du côté des climatologues réunis à Varsovie. Jean-Pascal Van Ypersele, climatologue, professeur à l’UCL, vice-président du GIEC (groupe d’experts international sur l’évolution du climate) est à Varsovie où se tient en ce moment une importante conférence de l’ONU sur le climat. Plus de 190 nations y sont représentées épaulées par une armée d’experts sous le coup du typhon Haiyan.
Jean-Pascal Van Ypersele a d’ailleurs avant tout une pensée pour les milliers de victimes. « Tout typhon est d’abord un événement humain, souligne-t-il. Pour le reste, on est face à un cyclone particulièrement intense parce qu’il est une combinaison de deux éléments qui ont décuplé son intensité. Tout d’abord un océan chaud, donc une grande source d’énergie pour alimenter l’intensité du cyclone. Par ailleurs, des vents très faibles pour couper laviolence du cyclone », résume-t-il.
Le vice-président du GIEC souligne qu’il est difficile d’estimer s’il s’agit du cyclone le plus violent jamais vécu «parce que les statistiques de mesures climatiques ne remontent pas à assez longtemps pour en juger ». Il n’y avait pas de satellites avant les années 70. On manque de bases de données.
Par ailleurs, les climatologues n’ont toujours pas établi de lien formel entre cyclones et réchauffement climatique, mais ils s’attendent à des phénomènes de plus en plus violents liés à la montée de la température des océans. «Un événement isolé ne peut pas dire grand-chose sur l’évolution du climat. Nous étudions les éléments sur trente ans », note Jean-Pascal Van Ypersele, pointant du doigt au tournant les «climato sceptiques » qui tirent des conclusions sur dix ans ou même sur base d’un seul hiver plus rude, par exemple.
«On peut simplement dire que l’intensité des vents et des pluies devraient augmenter à l’avenir. Par ailleurs, les océans se réchauffent, cela est prouvé et nul ne le conteste, appuie Jean-Pascal Van Ypersele. Le niveau des océans a augmenté de vingt centimètres en un siècle. C’est un facteur aggravant pour un cyclone tropical qui va s’élever de 4 ou 5 mètres à cause de l’onde de tempête. Ces 20 centimètres s’ajoutent. Cela peut faire la différence entre une digue qui résiste ou pas. »
Les projections des climatologues à partir du milieu du siècle à venir prédisent une augmentation des quantités de pluies déversées et une augmentation de la vitesse des vents, en plus du réchauffement des océans. On a là une mécanique qui favorisera des cyclones puissants, traduit le climatologue belge. «Le nombre de cyclones devrait diminuer mais ceux qui se déclareront seront beaucoup plus intenses, à l’horizon 2050 ». Pour Jean-Pascal Van Ypersele, le cyclone Haiyan est donc bien «une illustration de ce que nous allons probablement devoir vivre. »
Sourece Lavenir.net
PHILIPPINES Les survivants de Tacloban sous le choc
Les rescapés du typhon racontent la désolation, la perte de leurs proches dans des circonstances effroyables et le sentiment de culpabilité qui les taraude.
Bernadette Tenegra, professeur de lycée, n'oubliera jamais les derniers mots de sa fille. "Maman, laisse-moi, c'est bon. Sauve-toi !" lui a-t-elle ordonné, le corps transpercé d'éclats de bois des maisons détruites par le typhon Haiyan [nommé Yolanda par les Philippins].
"Je l'agrippais, je lui répétais qu'il fallait qu'elle tienne bon, que j'allais la sortir de là. Mais elle a renoncé", raconte cette maman de 44 ans, le visage marqué par le chagrin. Quelques heures seulement après le passage dévastateur du typhon, le soleil brillait, jetant une lumière crue sur la tragédie qui s'est abattue sur Tacloban le 8 novembre, et en particulier sur la maison de la famille Tenegra bâtie au bord d'une rivière.
Haiyan a littéralement fauché la ville, déversant sur tout le centre de cette agglomération de 220 000 habitants des murs d'eau, abattant les lignes électriques, écrasant tout sur son passage et broyant des milliers de vies humaines.
Sous les amas de gravats, les corps apparaissent par dizaines. Certains ont été alignés au bord des routes, sous des couvertures, teintant l'asphalte de sang rouge vif.
Des proches cherchant leurs disparus s'approchent des cadavres, hésitant, scrutant les visages. Les yeux humides, un homme secoue la tête et marmonne : "C'est pas lui." Deux adolescents fondent en larmes, ils ont trouvé ce qu'ils cherchaient : le corps de leur père mort.
“C'était comme si elle avait déjà capitulé”
[A l'approche du typhon], la famille Tenegra s'était rassemblée dans la cabane où elle vivait au Barangay [district] 66-Paseo de Legazpi, convaincue que l'habitation résisterait, comme elle l'avait fait par le passé.
Mais l'eau est montée à une vitesse incroyable, et la maison a basculé, éjectant brutalement ses occupants. Bernadette Tenegra, son mari et son autre fille ont réussi à regagner la terre ferme, mais la benjamine, prise dans le courant, a été emportée avec les débris.
"J'ai rampé jusqu'à elle, j'ai essayé de la ramener. Mais elle était si affaiblie. C'était comme si elle avait déjà capitulé, se souvient la maman. Alors j'ai lâché", raconte-t-elle, en sanglots.
Le choc se lit sur les visages médusés des survivants, qui pour beaucoup n'avaient jamais connu un typhon d'une telle ampleur.
Richard Bilisario, militaire dans l'armée de l'air philippine, a été emporté par les vagues violentes qui ont détruit la caserne de son unité, installée sur la base militaire qui surplombe le golfe de Leyte.
"Au départ, le vent venait des terres, ça ne nous inquiétait pas trop. Et, tout à coup, nous avons entendu un mugissement venu de la mer", explique-t-il.
"Quand nous avons ouvert la porte pour voir ce qu'il en était, l'eau nous montait déjà aux genoux. Et à peine la porte ouverte, l'eau s'est engouffrée et nous a tous emportés, nous étions onze personnes."
Quatre hommes sont toujours portés disparus, dont leur commandant, précise Richard Bilisario.
La culpabilité des survivants
Dans le centre de Tacloban, sur l'avenue principale inondée, deux hommes poussent en silence une charrette en bois portant les corps tuméfiés d'une femme, d'un adolescent et d'un bébé. Ils poussent leur fardeau à travers les rues, sous le regard des passants, pris de fascination morbide.
La femme s'appelait Erlinda Mingig, elle était vendeuse de poisson et avait 48 ans. Elle s'est retrouvée prise au piège dans sa maison de plain-pied, dans le Barangay 39-Calvaryhill, avec ses deux enfants, John Mark, 12 ans, et la petite Jenelyn, 1 an.
"C'est moi qui leur avais dit de rester dans la maison parce c'était plus sûr", lâche Rogelio, 48 ans, le mari d'Erlinda. "On l'a retrouvée enlaçant d'un bras les enfants, et s'agrippant de l'autre au plafond."
La culpabilité ronge déjà certains des survivants endeuillés : pourquoi ont-ils survécu, et pas ceux qu'ils aimaient ? L'un d'eux se demande même pourquoi il a réussi à sauver des inconnus, et pas ses proches.
Reinfredo Celis, le chef du Barangay 31-Pampango, a passé une bonne partie de la journée du 7 novembre et de la matinée du 8 à faire des allers-retours avec son van pour évacuer ses voisins vers un solide bâtiment scolaire du centre-ville.
Il n'a même pas pensé à emmener sa femme, convaincu que leur maison d'un étage, construite en béton, était un abri sûr.
Tacloban, entre deux mers
Lemuel Honor, homme d'affaires et ancien maire adjoint d'une ville du sud de l'île de Leyte, explique que Tacloban a été prise en étau par deux masses d'eau. "Ce sont deux mers qui se sont rejointes pour engloutir Tacloban : d'un côté la baie de Cancabato, de l'autre la baie de Tacloban." [La ville est construite sur la côte est de l'île de Leyte, à proximité de l'île de Samar. Les vents se sont engouffrés dans le canal de mer qui sépare les deux îles.]
La première onde a déferlé quand Haiyan, venu de l'océan Pacifique par la baie de Tacloban, est arrivé en trombe au-dessus des terres, et la seconde quand le passage du typhon dans la baie de Cancabato a soulevé des vagues en direction inverse, explique-t-il.
"Quand on voit des vagues venir de deux directions, d'abord de l'ouest, puis de l'est, imaginez la confusion !"
Source CourrierInternational
Bernadette Tenegra, professeur de lycée, n'oubliera jamais les derniers mots de sa fille. "Maman, laisse-moi, c'est bon. Sauve-toi !" lui a-t-elle ordonné, le corps transpercé d'éclats de bois des maisons détruites par le typhon Haiyan [nommé Yolanda par les Philippins].
"Je l'agrippais, je lui répétais qu'il fallait qu'elle tienne bon, que j'allais la sortir de là. Mais elle a renoncé", raconte cette maman de 44 ans, le visage marqué par le chagrin. Quelques heures seulement après le passage dévastateur du typhon, le soleil brillait, jetant une lumière crue sur la tragédie qui s'est abattue sur Tacloban le 8 novembre, et en particulier sur la maison de la famille Tenegra bâtie au bord d'une rivière.
Haiyan a littéralement fauché la ville, déversant sur tout le centre de cette agglomération de 220 000 habitants des murs d'eau, abattant les lignes électriques, écrasant tout sur son passage et broyant des milliers de vies humaines.
Sous les amas de gravats, les corps apparaissent par dizaines. Certains ont été alignés au bord des routes, sous des couvertures, teintant l'asphalte de sang rouge vif.
Des proches cherchant leurs disparus s'approchent des cadavres, hésitant, scrutant les visages. Les yeux humides, un homme secoue la tête et marmonne : "C'est pas lui." Deux adolescents fondent en larmes, ils ont trouvé ce qu'ils cherchaient : le corps de leur père mort.
“C'était comme si elle avait déjà capitulé”
[A l'approche du typhon], la famille Tenegra s'était rassemblée dans la cabane où elle vivait au Barangay [district] 66-Paseo de Legazpi, convaincue que l'habitation résisterait, comme elle l'avait fait par le passé.
Mais l'eau est montée à une vitesse incroyable, et la maison a basculé, éjectant brutalement ses occupants. Bernadette Tenegra, son mari et son autre fille ont réussi à regagner la terre ferme, mais la benjamine, prise dans le courant, a été emportée avec les débris.
"J'ai rampé jusqu'à elle, j'ai essayé de la ramener. Mais elle était si affaiblie. C'était comme si elle avait déjà capitulé, se souvient la maman. Alors j'ai lâché", raconte-t-elle, en sanglots.
Le choc se lit sur les visages médusés des survivants, qui pour beaucoup n'avaient jamais connu un typhon d'une telle ampleur.
Richard Bilisario, militaire dans l'armée de l'air philippine, a été emporté par les vagues violentes qui ont détruit la caserne de son unité, installée sur la base militaire qui surplombe le golfe de Leyte.
"Au départ, le vent venait des terres, ça ne nous inquiétait pas trop. Et, tout à coup, nous avons entendu un mugissement venu de la mer", explique-t-il.
"Quand nous avons ouvert la porte pour voir ce qu'il en était, l'eau nous montait déjà aux genoux. Et à peine la porte ouverte, l'eau s'est engouffrée et nous a tous emportés, nous étions onze personnes."
Quatre hommes sont toujours portés disparus, dont leur commandant, précise Richard Bilisario.
La culpabilité des survivants
Dans le centre de Tacloban, sur l'avenue principale inondée, deux hommes poussent en silence une charrette en bois portant les corps tuméfiés d'une femme, d'un adolescent et d'un bébé. Ils poussent leur fardeau à travers les rues, sous le regard des passants, pris de fascination morbide.
La femme s'appelait Erlinda Mingig, elle était vendeuse de poisson et avait 48 ans. Elle s'est retrouvée prise au piège dans sa maison de plain-pied, dans le Barangay 39-Calvaryhill, avec ses deux enfants, John Mark, 12 ans, et la petite Jenelyn, 1 an.
"C'est moi qui leur avais dit de rester dans la maison parce c'était plus sûr", lâche Rogelio, 48 ans, le mari d'Erlinda. "On l'a retrouvée enlaçant d'un bras les enfants, et s'agrippant de l'autre au plafond."
La culpabilité ronge déjà certains des survivants endeuillés : pourquoi ont-ils survécu, et pas ceux qu'ils aimaient ? L'un d'eux se demande même pourquoi il a réussi à sauver des inconnus, et pas ses proches.
Reinfredo Celis, le chef du Barangay 31-Pampango, a passé une bonne partie de la journée du 7 novembre et de la matinée du 8 à faire des allers-retours avec son van pour évacuer ses voisins vers un solide bâtiment scolaire du centre-ville.
Il n'a même pas pensé à emmener sa femme, convaincu que leur maison d'un étage, construite en béton, était un abri sûr.
Tacloban, entre deux mers
Lemuel Honor, homme d'affaires et ancien maire adjoint d'une ville du sud de l'île de Leyte, explique que Tacloban a été prise en étau par deux masses d'eau. "Ce sont deux mers qui se sont rejointes pour engloutir Tacloban : d'un côté la baie de Cancabato, de l'autre la baie de Tacloban." [La ville est construite sur la côte est de l'île de Leyte, à proximité de l'île de Samar. Les vents se sont engouffrés dans le canal de mer qui sépare les deux îles.]
La première onde a déferlé quand Haiyan, venu de l'océan Pacifique par la baie de Tacloban, est arrivé en trombe au-dessus des terres, et la seconde quand le passage du typhon dans la baie de Cancabato a soulevé des vagues en direction inverse, explique-t-il.
"Quand on voit des vagues venir de deux directions, d'abord de l'ouest, puis de l'est, imaginez la confusion !"
Source CourrierInternational
Le voilier Tres Hombres charge du vin à Douarnenez
Comme chaque année, le Tres Hombres, le cargo à voile et sans moteur de Fair Transport, effectue son tour de l’Atlantique. La brigantine de 32 mètres a quitté Stavanger en Norvège dimanche dernier, où elle était retenue depuis une dizaine de jours, faute de vents favorables. Cette année, le Tres Hombres ira au Brésil mais avant, c’est à Douarnenez qu'il fera escale entre le 8 et le 10 novembre (en fonction des conditions météorologiques) pour y charger du vin. Six barriques « voyageuses » de quelque 300 kg chacune seront chargées à bord dans le port breton pour une croisière de neuf mois autour de l’Atlantique. Elles verront le Brésil et les îles antillaises, les Bermudes et les Açores, mais elles doivent surtout, par cette navigation, permettre un meilleur élevage du vin qu'elles contiennent.
Cette escale est également l’occasion de livrer 100kg de chocolats fins à TOWT, société qui promeut le transport de fret à la voile. Les fèves de ce chocolat biologique ont traversé l’Atlantique depuis la République Dominicaine à bord du Tres Hombres, avant d’être transformées à Amsterdam dans une chocolaterie artisanale. Ces tablettes seront mises en vente en ligne et dans le réseau partenaire de TOWT.
Source MerEtMarine
Cette escale est également l’occasion de livrer 100kg de chocolats fins à TOWT, société qui promeut le transport de fret à la voile. Les fèves de ce chocolat biologique ont traversé l’Atlantique depuis la République Dominicaine à bord du Tres Hombres, avant d’être transformées à Amsterdam dans une chocolaterie artisanale. Ces tablettes seront mises en vente en ligne et dans le réseau partenaire de TOWT.
Source MerEtMarine
Deux remorquages en trois jours pour l’Abeille Bourbon
Basé à Brest, le remorqueur d’intervention, d’assistance et de sauvetage Abeille Bourbon a assisté cette semaine deux navires de commerce en avarie de propulsion au large de la Bretagne. Mercredi après-midi, le RIAS est arrivé dans le port breton avec, en remorque, le CFL Prefect, un cargo néerlandais de 117 mètres de long transportant une cargaison de sulfate de fer. Parti de Finlande, il s’était retrouvé en panne de moteur 35 milles au nord ouest d'Ouessant, alors qu'il faisait route vers l'Italie.
Deux jours plus tôt, l’Abeille Bourbon avait remorqué à Brest un autre cargo, le Sarma 1, lui aussi assisté suite à une avarie sur son appareil propulsif, que l’équipage n’est pas parvenu à réparer en mer. Long de 82 mètres, le navire letton était en transit entre Laayoune (Maroc) et Ventspils (Lettonie), avec 2000 tonnes de farine de poisson dans ses cales.
Source MerEtMarine
Un Français invente un kayak sous-marin
En Afrique du Sud, le Français Olivier Feuillette a fabriqué un sous-marin monoplace à partir d'un kayak de mer. Baptisé Subo, son submersible est théoriquement capable de naviguer sous l'eau pendant deux à trois heures, l'utilisateur pouvant respirer grâce à un filtre CO2. Sur ces images, mises en ligne en septembre mais relayée sur de nombreux sites comme Reddit depuis quelques jours, on peut voir le sportif commencer à la surface puis descendre au fond de l'eau avec son engin, propulsé grâce à une nageoire caudale similaire à celle d'un requin. D'après le site du magazine Kayak Session, Olivier Feuillette travaille depuis des années sur ce projet. Le Monde.fr
Sauvons Damien
Le 25 mai 1969 trois étudiants prennent le large au départ de La Rochelle à bord de Damien, voilier de 10.10 mètres en acajou.
Cap sur les glaces du Spitzberg puis du Groenland, ils remontent ensuite l’Amazone et passent le Cap Horn. Quelques 55 000 milles plus tard, le 22 septembre 1973, Damien se glisse de nouveau entre les deux tours du Vieux Port. A l’heure actuelle le voilier est souffrant, et c’est dans cet état qu’il est présenté au Grand Pavois 2012 pour permettre au plus grand nombre de contribuer à sa restauration. Vous aussi, participez en aidant les Amis du Musée maritime de La Rochelle qui sont au coeur de cette initiative.
Plus d’informations : navigueralarochelle
Source NautismeInfo
Cap sur les glaces du Spitzberg puis du Groenland, ils remontent ensuite l’Amazone et passent le Cap Horn. Quelques 55 000 milles plus tard, le 22 septembre 1973, Damien se glisse de nouveau entre les deux tours du Vieux Port. A l’heure actuelle le voilier est souffrant, et c’est dans cet état qu’il est présenté au Grand Pavois 2012 pour permettre au plus grand nombre de contribuer à sa restauration. Vous aussi, participez en aidant les Amis du Musée maritime de La Rochelle qui sont au coeur de cette initiative.
Plus d’informations : navigueralarochelle
Source NautismeInfo
Les grands naufrages
Des grandes catastrophes, il y en a toujours eu et malheureusement, il y en aura encore beaucoup d’autres. Celles qui se produisent en mer sont les plus spectaculaires, car elles impliquent souvent des milliers de personnes et les dégâts matériels sont toujours considérables. Elles sont aussi terriblement meurtrières. Quand un navire disparaît, il n’est pas rare qu’il entraîne dans la mort la totalité de son équipage et de ses passagers.
Comme toutes les autres catastrophes, les naufrages sont presque toujours le résultat de plusieurs causes qui s’additionnent. À la fureur des éléments s’ajoutent la malchance et les erreurs humaines qui souvent transforment en tragédies ce qui n’aurait pu rester que de banals incidents. Ces drames de la mer tirent toujours leurs origines du mauvais temps, des incendies, des icebergs, des abordages, des échouements, des avaries et/ou des faits de guerre.
Au classement chronologique, Gérard Piouffre, auteur du livre « Les grands naufrages, du Titanic au Costa Concordia », a préféré une répartition par causes principales. L’ouvrage ne recense pas non plus la totalité des naufrages, depuis les origines de la navigation jusqu’à nos jours, car même une encyclopédie en plusieurs volumes n’aurait pu y suffire. La période étudiée est limitée à celle de l’ère industrielle que les historiens font débuter en 1830.
Cette époque correspond à l’adoption de la machine à vapeur. Simple ébauche au début du xixe siècle, elle se généralise à la fin des guerres napoléoniennes et cette innovation va bientôt bouleverser les transports maritimes. La propulsion mécanique va également s’imposer dans la marine militaire, mais si cette dernière connaît son lot de tragédies, celles-ci impliquent des hommes jeunes et en bonne santé, qui ont tous reçu une formation de marin. Ils connaissent parfaitement leur navire et ils sont rompus aux exercices de sauvetage.
Tel n’est pas le cas, loin s’en faut, des passagers des paquebots. On trouve chez eux toutes les tranches d’âge, du nourrisson au vieillard. Ils viennent d’un peu partout et leurs origines sociales sont variées. Les passagers sont en moyenne deux fois plus nombreux que l’équipage, mais si l’on retranche de celui-ci les hommes des machines et le personnel hôtelier, la proportion des marins devient infime. C’est pourquoi les naufrages des paquebots sont tous différents, non pas tant par leurs causes que dans leurs conséquences. Ce sont eux que l’auteur a choisi d’évoquer en expliquant pourquoi, alors que le progrès technique rend les navires de plus en plus sûrs, des tragédies endeuillent régulièrement le monde du transport maritime.
Source MerEtMarine
Ces bateaux qui ont découvert le monde de Jean Benoît Héron
Ils ont pour noms de baptême la Santa Maria, la Boussole, le Golden Hind, Tara. Tous ces bateaux ont en commun d’avoir découvert de nouvelles terres, de nouvelles mers, et ainsi d’avoir repoussé les limites de notre horizon. Sans eux, Christophe Colomb n’aurait pas découvert l’Amérique, La Pérouse ne se serait pas aventuré dans les îles du Pacifique, Francis Drake n’aurait pas fait son tour du monde, Jean-Louis Étienne n’aurait exploré l’Antarctique.
Bateaux phéniciens, drakkars, caravelles, galions, goélettes : à travers une vingtaine de portraits de bateaux mythiques, Jean-Benoît Héron nous raconte l’histoire des explorations maritimes. Il nous emmène à bord des embarcations des grands explorateurs et nous fait partager la vie de ces aventuriers des mers, qu’ils s’appellent Pythéas, Magellan, James Cook ou Thor Heyerdahl. Ses dessins à l’aquarelle, d’une précision et d’un réalisme absolument remarquables, font de ce petit livre un grand ouvrage.
Jean-Benoît Héron vient d’une famille d’éditeurs et d’illustrateurs. Ingénieur de formation, il s’est lancé dans l’illustration en 1995. Il s’est spécialisé dans le dessin d’architecture, qu’elle soit navale ou terrestre : vues en éclaté de monuments, reconstitutions, phares, bateaux...
Admirateur des planches de l’encyclopédie de Diderot et d’Alembert, des dessins d’architecture du XIXe et du travail de John Chancellor, il a commencé par illustrer quelques planches d’architectures pour une collection de guides touristiques puis pour la revue italienne Bell’Europa. Il travaille régulièrement pour le musée national de la Marine, Monte-Carlo SBM, le chantier médiéval de Guédelon ou pour le Centre des monuments nationaux ainsi que divers grands éditeurs de presse.
Source VoilesNews
Sauvé des eaux, le vieux gréement Astrid sera finalement démoli
Triste destin pour le vieux voilier, dont le propriétaire n'aura pas trouvé les fonds nécessaires à sa remise en état.
C'est une bien triste décision qu'a dû prendre le propriétaire de l'Astrid, ce vieux gréement néerlandais qui avait sombré fin juillet au large de l'Irlande, avant que d'être renfloué mi-septembre.
Faute d'un financement suffisant, le navire sera finalement démoli, les frais de remise en état s'étant révélés hors de portée.
Rappelons que le 23 juillet dernier, l'Astrid s'était échoué à quelques encâblures de la côte irlandaise, suite à une panne de moteur.
Construit en 1918, l'Astrid était un brick de 42 mètres de long, qui a tout d'abord servi au transport de marchandises en Mer Baltique, avant de partir au Liban. En 1984, il est passé sous pavillon britannique pour être converti en navire école. En 2000, son acquéreur néerlandais en a fait un navire de croisière de luxe, loué à la journée ou sur de plus longues durées.
Source ActuNautique
Un tableau Assassin's Creed 4 Black Flag au Musée de la Marine
Du 6 novembre au 12 décembre 2013, le tableau épique d'AC 4 réalisé par les étudiants de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts sera exposé à Paris.
Une immense fresque de 2,30 m sur 4,5 m d'Assassin's Creed : Black Flag sera exposée au Musé national de la Marine. Du 6 novembre au 12 décembre 2013, Ubisoft va s'associer au lieu culturel pour exposer ce tableau épique réalisé par les étudiants de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris.
"C’est via une expérience digitale interactive que 130 fans ont eu la chance unique d’être immortalisés par les jeunes artistes des Beaux-Arts dans une toile Assassin’s Creed IV Black Flag. Véritables acteurs du projet, les fans ont envoyé une photo d’eux exprimant des émotions différentes selon le rôle joué au sein de la fresque. Les fans dont la photo a obtenu le plus d’adhésion sur les réseaux sociaux se sont vus intégrés dans la toile finale", explique Ubisoft. Le tableau a été réalisé à la peinture à l'huile, respectant ainsi fidèlement les techniques du XVIIIe siècle.
Vous pourrez contempler cette oeuvre au Musée national de la Marine, se trouvant au 17 Place du Trocadéro, à Paris. Assassin's Creed IV Black Flag est disponible sur PS3 et Xbox 360 et arrivera ultérieurement sur Wii U, Pc et next gen.
Source JeuxVideoMagazine
Il perd son voilier sur l'autoroute à Saint-James
Un automobiliste, remorquant un voilier, a perdu son bateau sur l'A84, dans le sens Rennes-Caen à hauteur de Saint-James, ce jeudi 31 octobre vers 10 h 30.
"Du jamais vu." Les gendarmes présents sur place confessent n'avoir jamais rien vu de semblable jusque-là. Un automobiliste, en route pour Cherbourg, a vu le voilier qu'il transportait sur une remorque tomber sur la chaussée.
Pourtant, le bateau était bien attaché. Aucun blessé n'est à déplorer. Une chance quand on sait que le voilier occupe l'une des deux voies de l'autoroute. La BMW du conducteur n'a pas non plus été abîmée et lui s'en est également sorti indemne.
L'automobiliste, fataliste, revient sur l'accident : " J'ai pris la route à Lorient, où j'habite, pour aller à Cherbourg où se tient une course de voiliers à laquelle je devais participer. Dans la descente, le bateau était en prise au vent fort, je l'ai vu tanguer. J'ai réaccéléré pour le remettre en ligne mais c'était trop tard, il est tombé."
Le voilier a subi des dégâts d'une valeur encore indéterminée. Il appartient au club de Lorient auquel est inscrit l'automobiliste.
Source Lamanchelibre
Construction du dernier bateau en bois sur Ile D'Yeu, chantier Barranger et Turbé, le "Loin de toi"
Construction du dernier bateau en bois à L'Ile D'Yeu
Filmé par Anatole Charuau