Le capitaine de la Calypso Albert Falco s’est éteint



Albert Falco, est très certainement le premier océanaute au monde, et le premier homme ayant vécu sous la mer 7 jours durant. Capitaine de la Calypso, le fameux et légendaire bateau océanographique du commandant Cousteau, Albert Falco a rejoint le monde du silence dans la nuit de samedi à dimanche, à l’âge de 84 ans à Marseille, la ville où il avait vu le jour le 17 octobre 1927.
 C’est en 1952 qu’il embarque pour la première fois à bord de la Calypso. Dans un premier temps, il est plongeur bénévole. Il grimpe les échelons, devient chef plongeur, chef de mission et termine capitaine du bateau. Plongeur infatigable, il restera à la barre trente-sept années durant avant de prendre sa retraite en 1990.




Jean-Claude Gaudin, le maire de Marseille, a salué la mémoire de « cet homme de bien qui a consacré sa vie avec passion à la défense du milieu marin”. Amoureux des grands fonds, Albert Falco a parcouru les eaux du monde entier sans oublier pour autant la Cité phocéenne où il s’est fortement engagé notamment en faveur du parc national des Calanques.»


Source allBoatsAvenue

BD - le tome 10 de Tramp vient de sortir


Retour aux sources pour Tramp, la BD maritime du duo Jusseaume-Kraehn.
Après des excursions en Afrique puis en Indochine, le capitaine Yann Calec est de retour à Rouen, siège de son armement, pour une aventure policière des plus prenantes, en un seul tome, qui nous ramène à la genèse de la série, qui rappelons-le, se déroule au sortir de la seconde guerre mondiale.
Dans "Le cargo maudit", Yann Calec, qui vient d'hériter, décide de se mettre à son propre compte en rachetant un liberty ship et se retrouve bien vite confronté à une collusion entre les dockers et un armateur peu cordial.
Intrigue prenante, dessin parfait (ligne claire) basé sur une documentation en béton, autant dire que Jusseaume et Kraehn ont été au meilleur de leur forme et sauront ravir les amateurs.
Pour la petite histoire, les dernières planches de la BD sont dues à... Kraehne, du fait d'un arrêt maladie prolongé de Jusseaume, tout comme la couverture.

Source ActuNautique

La Malouine en route vers Saint Malo



Le Brigantin La Malouine poursuit ses navigations au travers de l'Atlantique.

Après avoir effectué sa transat vers les Antilles en novembre dernier, puis remonté l'arc antillais jusqu'à St Martin, La Malouine fait désormais route vers St Malo. Elle devrait ainsi atteindre la cité corsaire pour le festival Etonnants Voyageurs entre le 26 et 28 mai.

Le granvillais David Alexandre, prendra alors le commandement de cet élégant bateau aux allures de corsaire, pour mettre le cap vers la Norvège et le Spitzberg.

La Malouine passera alors deux mois dans cet archipel norvégien, situé à tout juste 1 200 km du pôle magnétique. Observation des ours polaires, trecks, rencontres avec les scientifiques, seront aux menus de 6 navigations de 12 jours, entre les hauts plateaux enneigés et les glaciers tombant dans la mer.

Un film documentaire de 52 minutes destiné à la télévision, sera réalisé à bord entre le 15 et le 27 juillet. Une aventure de plus, ouverte à tous, pour un bateau hors du commun et son équipage de bretons.`

Association Les Amis de la Malouine
11 rue Trublet
35400 St Malo


Source ActuNautique

Paimpol accueille les peintres de la Marine Nationale



Du 15 avril au 30 Septembre, le musée de la Mer à Paimpol (Côtes-d'Armor) présente les œuvres de 23 peintres officiels de la Marine.

L'exposition présente les spécificités du titre de "peintre officiel de la Marine", créé en 1830.

Rappelons que tout postulant à ce titre doit présenter une œuvre lors du Salon de la Marine qui se tient tous les deux ans au musée national de la Marine.

Les artistes dont les œuvres sont primées sont nommés "peintres agréés" pour une durée de trois ans renouvelable. Il peuvent ensuite devenir "peintres titulaires" après plusieurs périodes consécutives de trois ans ou à 60 ans révolus.

Musée de la Mer
Rue de Labenne
22500 Paimpol

Un grand colloque sur la piraterie à La Rochelle

La Piraterie au fil de l'Histoire : un défi pour l'Etat. C'est le thème du colloque organisé du 9 au 12 mai à La Rochelle par l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) et l'Université de La Rochelle, en partenariat avec le Cluster Maritime Français. Cet évènement présente l'originalité de réunir, dans une optique pluridisciplinaire des chercheurs (historiens, géographes, politologues, économistes, juristes, littéraires), des experts militaires et des milieux industriels et de la recherche appliquée, et se donne pour objectif d'approfondir ces thèmes en vue d'explorer des pistes prospectives.

Source MerEtMarine

Littoral du samedi 14 avril 2012

Grâce à la poésie d’un théâtre optique et à une scénographie parfaitement orchestrée, la cité de la Mer de Cherbourg rend hommage à la dernière escale du Titanic avant sa traversée fatale. A Port-Revel, près de Grenoble, les pachas s’entraînent à gérer toutes les situations de crise sur un lac de cinq hectares. Et dans la série Nos 20 ans, partons à la rencontre du Don Quichotte de la Manche


BA Littoral du samedi 14 avril 2012 à 16h15 par france3Bretagne

Le patrimoine maritime de Saint Gilles-Croix-de-Vie (Vendée) - vidéo

Découvrons le patrimoine maritime de Saint-Gilles-Croix de Vie ! Direction la maison du pêcheur puis embarquons sur le Hope, un bateau-musée.


Le patrimoine maritime de Saint... par TVVendee

Bro Warok, un vieux gréement vers Haïti, préparation du bateau

Départ prévu mars 2012. Lundi 7 Novembre, Alain Malardé retrouve Dédé et Jacky, respectivement mécanicien de marine et charpentier de marine pour l’installation des cuves de carburant qui vont accueillir les 3000 litres supplémentaires nécessaires à l’autonomie du Bro Warok lors de son périple haïtien.


Bro Warok, un vieux gréement vers Haïti... par sanstenarios

Grutage du vieux gréement Bro Warok pour carénage

Port de pêche de Lorient. Mise à sec et retour à l'eau du vieux gréement Bro Warok pour carénage en prévision du convoyage humanitaire à destination d'Haïti en mars avec une cargaison de matériel pour les pêcheurs, d'ouvrages scolaires et de denrées alimentaires.


Grutage du vieux gréement Bro Warok pour... par sanstenarios

Angleterre: reconstruction du bateau de l'âge du bronze


Angleterre: reconstruction du bateau de l'âge du...

Des charpentiers anglais tentent de reconstruire à l'échelle 1/2 le célèbre bateau de l'âge du bronze exposé au Musée de Douvres, datant de -1550 avant JC. Reportage de Cédric Ramon et Frédérik Giltay.

Un cargo défonce un bateau de pêche



La scène se passe le 8 octobre 2010 dans le port de Port Lincoln (Australie). Un cargo (Vraquier de 225m) est entré en collision avec un bateau de pêche se trouvant à quai. Heureusement, il n'y avait aucun membre d'équipage. Le bâteau a mis moins de 25 minutes pour couler.

Le Mutin : 85 ans et toujours vaillant



« Trinquette dessous ». Le bosco surveille la voile qui passe le lit du vent. Le Mutin vient de virer de bord et remonte au près, toute la toile dehors vers le goulet de Brest. Debout devant la lourde barre franche, le commandant du dundee, le maître principal Fabien Gregory, savoure. « A 16-20 noeuds de vent, on peut envoyer toutes les voiles, et ça avance bien ». Ca avance bien, en effet, à bord du plus vieux bateau de la Marine nationale, voilier-école de l'Ecole navale.
Il ne les fait vraiment pas, ses 85 ans, le Mutin : foc, trinquette, grand- voile, flèche de grand-voile et tape-cul, 350 m2 de voilure, 33 mètres de long et la fière allure des thoniers vendéens d'avant-guerre. Ces dundees qui pêchaient dans le golfe de Gascogne et qui sortaient des chantiers des Sables d'Olonne. Le Mutin, lui, est sorti des chantiers Florimond-Guignardeau en mars 1927. « Il a un gréement traditionnel, mais il n'a jamais eu vocation à aller pêcher, il a été commandé par la marine », explique le pacha. Un peu comme ses deux « jeunes » consoeurs de l'Ecole Navale, 80 ans à peine, les goélettes Etoile et Belle-Poule, le Mutin est un de ces rudes voiliers sur lesquels les jeunes marins se sont frottés à la manoeuvre, à la dure : celle des drisses sans cabestan, des carrés où les bannettes s'empilent autour de la table et l'eau chaude n'est pas réellement au programme.

L'école des pilotes de la Marine

« Ah oui, c'était le pas grand luxe, mais qu'est-ce qu'on était bien là ». Sur le pont du Mutin, il y a Paul Schubel-Drévillon et Paul Raux. Paul Nord et Paul Sud. Les yeux bleus des marins, « ceux qui font rêver les filles », 80 ans à peine passés, le regard fixé sur le large et la main posée sur l'épaule des petits jeunes de l'Ecole des Mousses. « Mais, dis donc, ton noeud de chaise, là, tu es sûr que tu sais le faire d'une main ? Et cette tour avec du noir et jaune, ça raconte quoi ? » Les moussaillons sont impressionnés mais répondent à leurs anciens. « Et vous voulez devenir quoi ? Timoniers ? Et bien il va falloir faire comme nous à l'époque. Il va falloir apprendre les cartes ». Paul Nord et Paul Sud sont copains depuis toujours. Enfin surtout depuis l'école de pilotage de Saint Servan. Celle à laquelle a été affectée le Mutin dès son entrée en flotte à 1968. « On y entrait gamin, 17 ans, on apprenait un métier, celui de pilote et après on faisait carrière dans la Marine ». Pilote, celui qui connaît toutes les cartes, tous les relèvements, tous les alignements. Et qui souffraient, des heures, à faire le point d'étoile dans une furie de temps. « C'était là sur le pont du Mutin ». Paul Nord et Paul Sud rigolent encore en repensant à leurs soirées, à cette confrérie des pilotes qui, encore aujourd'hui, plus de 40 ans après la fin de la spécialité, est une des « familles » les plus dynamiques de la marine. Philippe Arzel est issu de la dernière promotion de l'école de pilotage. Il a commandé le Mutin et plus tard le Belem. Et, aujourd'hui, ça le démange. Il s'approche de la barre, le chef de quart a immédiatement compris. « Allez-y commandant », il s'éclipse avec un sourire. Le commandant Philippe reprend sa place, les réflexes reviennent vite, d'une voix de stentor, il consulte le bosco, « paré à virer ? on envoie ». La manoeuvre est belle, les voiles se gonflent, le vaillant petit Mutin est reparti sur un nouveau bord.

Les services secrets anglais à bord

Fabien, le pacha, regarde toutes ces générations de marins sur son bord. Il est heureux. « C'est sûr, c'est un petit bateau, mais je crois qu'il a fait beaucoup de choses dans sa vie. Il a su se rendre très utile ». Et c'est le moins qu'on puisse dire. Parce que le Mutin a eu une autre vie. Une vie de bâtiment militaire. En 1940, il a fait partie des rares bateaux ayant rallié Londres. Les Anglais lui trouvent rapidement une utilité. Après tout c'est un thonier, alors pourquoi ne pas l'envoyer sur son terrain naturel, le golfe de Gascogne. Remotorisé, le dundee part, pour la première fois de son existence, à la chasse au thon... Au milieu de la flottille vendéenne, il se fond dans le décor. Sauf qu'à son bord, il n'y a pas que des pêcheurs. Il y a les hommes des services secrets britanniques. Dans ses cales, il y a des thons. Mais des thons factices, conçus par le museum d'histoire naturelle de Londres pour y cacher des armes. Pendant plusieurs années, il va servir le renseignement et la résistance. Puis, il va s'aventurer jusqu'au Levant, on l'aurait même vu au Liban. « C'est une célébrité en Angleterre », sourit Patrice l'Hour, un de ses anciens commandants qui a raconté l'histoire du dundee dans un livre.
Après la guerre, retour à la barre franche et retour à l'école. Celle du pilotage d'abord, puis l'Ecole navale. « Nous embarquons régulièrement des élèves de toutes les écoles de la marine ». Pour qu'avant de manoeuvrer des diesel-alternateurs et des turbines à gaz, ces jeunes marins savent ce que signifie vraiment « trinquette dessous ». Le Mutin est reparti pour un joli bout de mer.

Constructeurs de bateaux, vidéo Ina

Présentation des chantiers de constructions navales d'Essex aux Etats-Unis, à travers le portrait d'un pêcheur venu faire construire son bateau. Le travail des artisans, profondément attachés aux coutumes locales, montre toute la complexité et le savoir faire du métier dans la réalisation des plans, le choix et la découpe du bois, le bordage et l'assemblage de l'armature et le lancement du bateau. Reportage constitué de séquences de bateaux en pleine mer, de différentes phases de découpages et d'assemblages des pièces du bateau et de sa mise à l'eau

Portrait de bateau. Le chaland de la Humber



Les Chalands de la rivière Humber (GB) sont des bateaux de charge qui ont perduré jusqu’au début du XXᵉ siècle. On les appelle aussi Keels du Humber ou Keels tout court. Il sont spécifiques à la région et capables de naviguer dans les multiples voies d’eau se jetant dans l’estuaire. Ces bateaux, du fait de leur trafic dans des eaux peu profondes, sont dotés de dérives latérales, relevables dans les petits fonds. De formes porteuses, larges et volumineuses, sans aucun élancement, ils sont armés au cabotage pour le transport de lourdes charges (40 à 50 tonnes).

Longs d’une vingtaine de mètres sur quatre à cinq de large avec un tirant d’eau de un mètre environ, ces chalands ne sont pas sans rappeler les bateaux hollandais, (botters et autres) ni d’ailleurs les barges de la Tamise. Ils portent un seul mât, une large voile carrée et un hunier.
Fabriquée en chêne, (à clins à l’origine), la coque a peu à peu adopté l’acier permettant une construction en forme. La photo en montre deux superbes spécimen de ces bateaux de travail.
Contrairement aux apparences, ces chalands ont la réputation d’être fort maniables et capables de naviguer au plus près du vent. Leur équipage se réduit à deux hommes, mais il se dit qu’un homme seul pouvait très bien s’en sortir…

Plusieurs initiatives de sauvegarde sont parvenues a sauver quelques Chalands de la Humber d’une disparition totale. Qu’elles en soient complimentées.



Un article de

« La Janine », la virtuosité au service du métier



En 2004 l’Association « Les Bateaux d’Ulysse » acquiert La Janine, un caseyeur de 19,60 m construit en 1956, chantier Keraudren, à Camaret. Un bel exemple patrimonial qui mérite de re-naviguer. Le bateau est classé Monument historique, et doit faire l’objet d’une rénovation importante. En accord avec la DRAC Bretagne, il sera pris en charge par le Chantier Y & Y de Douarnenez. Encore faut-il le mener jusque-là. Car le vénérable bateau est à Camaret sur le haut du célèbre Sillon. La distance n’est pas si grande, mais la jolie Janine est intransportable par la route. Reste la seule solution que vous avez déjà devinée : elle ira par la mer !
• Comment la remettre à l’eau ? Aucun moyen de levage, grue ou portique de manutention n’étant disponible sur place, le chantier choisit de se débrouiller avec ses seuls moyens. Pas évidente, l’affaire…



Qu’à cela ne tienne, Yves Tanguy le patron de Y & Y n’est pas homme à baisser les bras facilement : la manutention et mise à l’eau se feront… à main d’homme ! Il imagine alors un scénario simple mais légèrement audacieux exigeant la maîtrise absolue de ses différentes phases. Voyons cela.
• Par chance, le bateau est posé assez haut sur ses tins, permettant de glisser un chariot sous sa coque. Celle-ci est d’abord emmaillotée d’une bâche en plastique assurant (très provisoirement) son étanchéité. Reste à la poser sur le chariot ; c’est là que tout se joue. Elle va être soulevée, ses tins abaissés, puis reposée au moyen d’un cric hydraulique (manuel) de 50 tonnes ! D’abord par l’avant, centimètre par centimètre, puis par l’arrière et ainsi de suite. On soulève les 70 tonnes environ (en fait 35 tonnes à chaque fois), on réduit les cales, et on recommence… Cinq hommes sont au travail, sans le secours du moindre engin mécanique. Vertigineux !



• Lorsque La Janine est finalement posée sur le chariot, elle est manœuvrée par un camion qui, lentement, va la pousser vers la cale de mise à l’eau. A partir de là, elle glissera peu à peu, retenue par un câble passant par un palan à huit brins et saisi sur un point fixe. Au bas de la pente, elle s’arrêtera et attendra paisiblement que la marée vienne la prendre. Ça, c’est le plan.
Et c’est exactement ce qui se passera, sans à coups mais tout de même quelques sueurs froides…
• Lorsque La Janine sera à flot, deux vedettes de la SNSM la prendront en remorque et la conduiront benoîtement jusqu’à Douarnenez où elle se refait une santé.
• Notre commentaire : cette intervention s’est déroulée le 29 septembre 2011, de 9 h à 16 h 41 (mise à l’eau) ; elle a été menée par cinq hommes sans recours à des moyens lourds ou coûteux. Seuls matériels : un camion, un chariot démontable et ajustable, un cric manuel, une tronçonneuse. Le tout pour réaliser une opération délicate, frôlant parfois la mission impossible. Tous les professionnels – et même ceux qui ne le sont pas - apprécieront… Chapeau, les gars !


UN article de

Mary Kingsley, la montagne des dieux


Lorsqu'elle débarque en Angola au milieu de l'année 1893, Mary Kingsley n'a connu que trois choses : son quartier de Londres qu'elle n'a jamais quitté, sa mère malade dont elle s'est occupée et les écrits de voyages africains d'un père toujours absent. Pourtant, à la mort de ses deux parents, elle embarque aussitôt pour une Afrique où sauvagerie, violence et horreur se côtoient selon les récits des explorateurs. Une Afrique dont elle ne connaît rien, mais qui lui a volé son père !
Elle est venue pour mourir. Ce qu'elle va vivre lui en coupe l'envie ! Dans la forêt tropicale, sur des fleuves ou des montagnes, elle apprendra les rudiments de la survie en milieu hostile, rencontrera des tribus « cannibales et sauvages » pourtant si riches, et ira plus loin que nul n'a encore été.
Au travers du regard d'une femme qui deviendra l'avocate infatigable du mode de vie africain, ce voyage, parfois au cœur de l'enfer, est un hymne aux échanges culturels et à la tolérance.

Scénaristes : Guillaume Dorison et Esteban Mathieu
Dessinateur : Julien Telo

Magellan, jusqu'au bout du monde


Alors que l'Amérique vient d'être découverte, que le Pape a divisé le monde entre Espagnol et Portugais et que beaucoup pensent encore que la terre est plate et suffisamment connue, un homme va imaginer qu'il est possible, en partant vers l'ouest, de revenir par l'est. Magellan est pourtant prêt à renier son pays, laisser amis et amour derrière lui, lutter seul contre tous, affronter mutineries, traîtrises, mers déchaînées, faim et maladies meurtrières pour démontrer la justesse de ses idées : effectuer le premier tour du monde. Mais Magellan sait aussi qu'il devra aller jusqu'au sacrifice ultime pour que son rêve se réalise et que jamais son nom ne soit oublié...

Scénariste : Christian Clot
Dessinateurs : Bastien Orenge et Thomas Verguet

Explora, Embarquement Immédiat Pour l’Aventure



Partez à la découverte des plus grands explorateurs de l’Histoire. C’est la proposition séduisante de Christian Clot, auteur et explorateur lui-même qui lance chez Glénat une nouvelle collection, "Explora". Consacrés au navigateur Magellan et au destin incroyable de Mary Kingsley, les premiers volumes seront suivis en septembre de deux autres biographies dessinées, celle de Sir Richard Francis Burton et de Percy Fawcett. Interview vidéo d’un aventurier de la Bédé.



Le défi des goemoniers 2012



Dimanche 8 avril 2012, une soixantaine de rameurs prendra le départ de la seconde édition du « Défi des goémoniers », course de rame ouverte aux stand-up paddles, aux paddles, aux pirogues, aux yoles, canoës et kayaks de mer ainsi qu’à toute embarcation manoeuvrée à la godille.



Le départ sera donné à l’ensemble des rameurs à 17h30 au pied du HOALEN Ocean Store de Plouguerneau-Lilia. La flotte frôlera l’Ile Vierge, remontera l’Aber Wrac’h sur 10 kilomètres avec le courant de la grande marée et ralliera à la force des bras le magnifique château de Kérouartz niché sur les rives de l ‘Aber.



Seront présents tant des amateurs que des rameurs professionnels tels Greg Closier, premier breton en stand-up longue distance et vainqueur du Défi de Douarnenez 2011, Gaëtan Sené, n° 2 français dans cette même discipline, Sébastien Cattelan, vainqueur de la Route des Phares 2011 ou encore des sportifs aguerris comme Manu Le Borgne, barreur sur Banque Populaire, détenteur du record du Trophée Jules Verne, ou Faustine Merret, médaillée olympique en planche à voile.