Maquette, Bateau, Plan, Modèlisme, Model Boats, Construction Nautique, Boatbuilding, Artisanat, Crafts, Boat Plans, Chants de Marins, Chansons de Marin, Ebook,BD,Livre Plans, Ship Model, Plan Boat Free, Plan Bateau Gratuit, Plans Maquettes Bateaux,
Costa Allegra. Un thonier de Concarneau remorque le paquebot en détresse
Ce mardi, le Trévignon, un thonier sennier de Concarneau, a pris en remorque le Costa Allegra, qui dérivait au large des Seychelles avec plus d'un millier de personnes à bord (dont 127 Français), jusqu'à une île proche, l'île Desroches. Le Costa Allegra, un paquebot de croisière de la compagnie Costa, avait perdu toute propulsion, mais ses moyens de communication fonctionnaient normalement. Mais c'est un nouveau coup dur pour Costa, quelques semaines après le naufrage d'un autre de ses navires, le Concordia.
8 h 30. C'est un thonier de Concarneau qui remorque le Costa Allegra
C'est une information d'Europe 1 : le bateau qui remorque actuellement le Costa Allegra est le Trévignon, un thonier sennier de 84 m de Concarneau. Bateau qui appartient à la Compagnie française du thon océanique et qui avait été construit par les chantiers Piriou. Sa zone de pêche est le large de la Somalie.
6 h. Un chalutier français remorque le Costa Allegra
Un chalutier français a pris en remorque le Costa Allegra, qui dérivait au large des Seychelles avec plus d'un millier de personnes à bord, jusqu'à une île proche, l'île Desroches.
La journée du 27 février
Le Costa Allegra, un navire de la compagnie Costa Crociere est à la dérive dans l'océan Indien, au large des Seychelles, après un incendie. Le sinistre s'est déclaré vers 10 h 40 (heure de Paris) dans la salle des générateurs. Il a été éteint par les équipes à bord avant de se propager. Costa précise que des contrôles sont en cours dans la salle des machines pour tenter de remettre le paquebot en état de naviguer.
"Il n'y a ni mort, ni blessé", précise Costa. "Tous les passagers, en bonne santé et régulièrement informés du déroulement des événements, ont été regroupés par mesure de précaution aux points de rassemblement en cas d'urgence sur le navire", ont indiqué les garde-côtes italiens.
Le Costa Allegra, avec plus de 1.000 personnes à bord, passagers et membres d'équipage, était parti samedi de Madagascar et se dirigeait vers les Seychelles, dans l'océan Indien. Il se trouve actuellement à environ 200 milles nautiques au sud-ouest des Seychelles
"Le Costa Allegra est pour le moment sans propulsion" à la suite de l'incendie "mais ses moyens de communication fonctionnent normalement", ont précisé les garde-côtes italiens. Ces derniers ont alerté les autorités des Seychelles qui ont "la compétence territoriale pour les opérations de secours" et assure avoir déjhttp://www.blogger.com/img/blank.gifà identifié des navires marchands qui pourraient se diriger vers le navire à la dérive pour l'aider. Des remorqueurs sont aussi en route. Les premiers bateaux devraient arriver aux abords du paquebot en détresse vers minuit (heure de Paris).
En dépit d'une panne de courant, "le navire est absolument en sécurité" a déclaré un porte-parole des gardes côtes.
Le Costa Allegra appartient à la même compagnie que le Concordia, qui a fait naufrage le 13 janvier, en Italie, provoquant la mort d'une trentaine de personnes.
Cet incident dans l'océan Indien arrive au plus mauvais moment pour Costa, alors que les plaintes fleurissent de toutes parts pour le naufrage du Concordia.
Source LeTeleGramme
Agrandir le plan
Madagascar : un voilier marchand de 60 tonnes se volatilise en mer.
”Le Ranolaina” un boutre (bateau traditionnel à voile), de 60 tonnes, opérant dans le transport de marchandises de premières nécessités, qui effectuait des liaisons commerciales entre les villes de l’ouest de la Grande île, a disparu depuis la mi-janvier, alors qu’il faisait cap sur Morombe, une ville située sur la côte ouest de Madagascar.
Parti du port de Mahajanga (deuxième port de Madagascar), le 16 janvier, avec une cargaison de bois de construction, avec à son bord le propriétaire et cinq de ses compagnons, il n’a toujours pas donné signe de vie. L’inquiétude, comme on s’en doute, ronge les familles et amis des occupants du Ranolaina. Bien que vulnérable par mauvais temps, le boutre peut en principe rejoindre la côte, à moins qu’un grave problème ne soit survenu.
Cette semaine, deux vedettes rapides ont été activées pour aider à la recherche de “Ranolaina” sur les côtes de Majunga jusqu’à Morondava, une ville côtière non loin de Morombe, mais aucun corps ni épave n’ont été retrouvés.
Source AllBoatsAvenue
Parti du port de Mahajanga (deuxième port de Madagascar), le 16 janvier, avec une cargaison de bois de construction, avec à son bord le propriétaire et cinq de ses compagnons, il n’a toujours pas donné signe de vie. L’inquiétude, comme on s’en doute, ronge les familles et amis des occupants du Ranolaina. Bien que vulnérable par mauvais temps, le boutre peut en principe rejoindre la côte, à moins qu’un grave problème ne soit survenu.
Cette semaine, deux vedettes rapides ont été activées pour aider à la recherche de “Ranolaina” sur les côtes de Majunga jusqu’à Morondava, une ville côtière non loin de Morombe, mais aucun corps ni épave n’ont été retrouvés.
Source AllBoatsAvenue
Visite du "Yogi", le "méga yacht" de Stéphane Courbit
Visite guidée, en vidéo, du « méga yacht » de croisière de Stéphane Courbit, destinée à une clientèle richissime prête à dépenser plusieurs centaines de milliers d'euros pour un séjour sur ce navire de luxe flambant neuf qui vient de faire naufrage au large de la Grèce. Une source estime le prix de ce bateau à une cinquantaine de millions d'euros (Vidéo Marc Paris / YogiYacht.net )
Le méga-yacht de Stéphane Courbit a fait naufrage en mer Egée
Le "Yogi", le navire de croisière de luxe de l'homme d'affaires français Stéphane Courbit, a fait naufrage vendredi en mer Egée, au large de la Grèce, rapporte samedi 18 février Paris Match. Les huit hommes d'équipage ont été récupérés sains et saufs au terme d'une spectaculaire opération d' hélitreuillage.
Le luxueux navire de 60 mètres de long, le plus grand yacht immatriculé en France, avait été lancé en mars 2011 par un un chantier naval turc. Il a été victime d'avaries mécaniques lors d'une tempête, entre les îles de Skyros et Psarra, en mer Egée. Sur les images du sauvetage, le "Yogi" apparaît couché sur le flanc, comme le "Costa Concordia", avant de couler. Le sauvetage de l'équipage a mobilisé deux hélicoptères et une frégate de la marine grecque. Une opération qui a donné lieu à certaines critiques en Grèce, où la population pâtit de la grave crise économique dans laquelle est plongée le pays.
C'est un "nouveau coup dur" pour Stéphane Courbit, commente Paris Match, qui rappelle que ce "jeune loup des affaires" doit trouver 143 millions d'euros que la milliardaire Liliane Bettencourt avait investis l'année dernière dans son groupe et qu'il a promis de rembourser. Stéphane Courbit avait fait fortune au début des années 2000 en revendant sa société de production télévisuelle au groupe Endemol. Il est aujourd'hui actif dans les secteurs de l'audiovisuel, les paris sportifs, les jeux en ligne et la distribution d'électricité, rappelle l'hebdomadaire.
Le "Yogi" est détenu par la société parisienne Lov NB 49, la structure patrimoniale personnelle de Stéphane Courbit, qui est également propriétaire des hôtels de grand luxe Les Airelles à Courchevel et Pan Dei à Saint-Tropez. Depuis son port d'attache de Monaco, le yacht, dessiné par l'architecte naval Jean Guy Verges, était proposé à la location sur le site www.yogiyacht.net pour 357 000 euros la semaine en basse saison, 378 000 euros la semaine en période de pointe, précise Paris Match.
Le super yacht comprenait 800 mètres carrés d'appartements privés à la décoration inspirée de l'île de Bali, pouvant accueillir 12 personnes, réparties entre six cabines. En saison, l'équipage se composait de quinze personnes, dont cinq marins chargés de la navigation et de la maintenance et deux mécaniciens.
Source LeMonde
from haf.webmaster on Vimeo.
La navigation ancestrale Polynésienne - Tahiti
Des siècles durant, les ancêtres des Polynésiens voguèrent sur les mers du sud. Marins tenaces et courageux, navigateurs hors pairs, l'océan était leur royaume. Iles après îles, archipels après archipels ils conquièrent l'ensemble du Pacifique-Sud. Une aventure maritime sans précédent, qui marqua l'histoire de l'humanité et l'histoire de la navigation à tout jamais.
Francis Cowan nous raconte son expérience et la façon qu'avaient les anciens de lire dans le ciel étoilé.
Francis Cowan nous raconte son expérience et la façon qu'avaient les anciens de lire dans le ciel étoilé.
L'astuce du loch
Atelier bidouille à bord de Tara Tari : fabriquer un loch pour calculer la vitesse du bateau.
Astuce de Capucine à retrouver sur Whereistaratari
L'Etoile et la Belle-Poule vont traverser l'Atlantique
Ce sera la deuxième transat des goélettes de la Marine. Après la Tall Ship Atlantic Challenge de 2009, l'Etoile et la Belle-Poule vont remettre le cap sur l'Amérique à partir du 8 mars prochain. Les deux bâtiments-école vont à, l'invitation des Etats-Unis, participer à plusieurs événements outre-atlantique. "Nous avons été contacté, via l'attaché de défense de l'ambassade de France, par le gouverneur de Virginie et le maire de Norfolk, pour participer à plusieurs commémorations. La Marine a décidé d'y répondre favorablement, à condition qu'elles soient de retour pour les fêtes de Brest en juillet prochain", explique-t-on à la préfecture maritime de Brest.
Le programme va donc être chargé pour les deux goélettes: après une escale à Las Palmas aux Canaries, elles se rendront à Porto-Rico, puis en Floride, à Jacksonville, où elles célébreront les 450 ans de la ville et de la présence française dans cette région. Elles remonteront ensuite vers les ports de Savannah et de Charleston, pour rejoindre les escales de la Tall Ship Challenge, puis mettront le cap vers New-York. Là-bas, elles participeront aux cérémonies du bicentenaire de la seconde guerre d'indépendance américaine. Et enfin, sur la route du retour, elles iront saluer l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Deux objectifs affichés pour cette expédition: "consolider nos relations bilatérales et former les élèves à la manoeuvre à la voile et à la vie embarquée". Des élèves de l'école navale, mais également des écoles de la marine marchande et de la Sorbonne se relaieront à bord, "une dizaine en moyenne entre chaque escale". L'équipage sera constitué du commandant, de dix officiers mariniers et de six hommes d'équipage.
Les goélettes seront de retour à Brest le 5 juillet prochain.
Un article de MerEtMarine
Les « Escales de Binic » : le choix maritime
Le festival « Les Escales de Binic » s’annonce comme une manifestation majeure dans la littérature maritime contemporaine. Il réunira, en effet, (du 23 au 25 mars 2012) un nombre impressionnant d’auteurs connus ou méconnus, intervenant dans toutes les formes d’expressions écrites et graphiques. Comme indiqué précédemment, Escales Maritimes en sera un partenaire actif ; ce qui nous réjouit d’avance…
• Quelques catégories, énergiquement représentées par les 45 participants, histoire de vous mettre l’eau à la bouche :
- Romans, poésies – Essais – Albums, BD, Illustrations – Cuisine – Jeunesse …Plus des expos photos, conférences, café littéraire.
Qu’est-ce que vous dites de ça ? Un sacré cocktail…
• C’est toute une ville – tout un port – qui célèbrera avec enthousiasme la culture maritime.
Sur leur petit nuage, les rudes pêcheurs d’Islande (dont Binic fut un vivier) doivent jubiler de ce renouveau imprévu !
Le navire est dans les jetées, il va bientôt accoster ; nous serons sur le quai.
Un article de
Canotage sur les eaux gelées du Saint-Laurent-video
Sur les eaux gelées du Saint-Laurent, ces canotiers vivent un retour aux sources. A Québec, les marées empêchent la formation de ponts de glace : pour joindre les deux rives, il a longtemps fallu affronter les courants en canot. Une traversée de tous les dangers, unique au monde.
Costa Concordia : ces rescapés qui sombrent
Un grand craquement, l'attente puis la panique. Les rescapés du « Costa Concordia » connaissent ces sensations par coeur. Près d'un mois après le naufrage du navire de croisière, des Nordistes que nous avons pu rencontrer racontent leurs difficultés à s'en sortir.
« J'ai toujours des flashs. On se serre dans la chaloupe, j'entends des cris. Je revois les scènes. Je n'oublie rien de ce qui s'est passé. » Chantal Carlier ne va pas bien. C'est un doux euphémisme. Le 13 janvier, elle était à bord du Costa Concordia avec Pascal, son époux. Un couple de Lommois comme un autre qui s'offrait une croisière conçue pour être de rêve.
Et le voyage qui bascule. Vraisemblablement à cause d'un officier qui a voulu frimer en rasant les côtes. Un type qui a sauté dans la première chaloupe venue, « capitaine abandonneur ». Alors, les images se bousculent. À commencer par l'insupportable attente sur le pont numéro quatre : « On est resté trois quarts d'heure sur le pont à attendre les ordres d'un commandant qui était déjà parti. »
Inévitables, les scènes de panique ne tardent pas à suivre. Récits venus d'un autre monde, où les hommes retrouvent parfois leurs instincts les plus bestiaux : « Il y a un type qui est arrivé à la chaloupe en criant qu'il était VIP, première classe, qu'il fallait le laisser passer. Un type qui a poussé une femme et son bébé. Le bébé a roulé sur le pont. Je verrai tout le temps ce gosse. » La voix de Chantal Carlier se brise. Des larmes coulent. Puis le flot de paroles reprend : « Mon mari a ramassé le bébé, il me l'a donné et il a mis un coup de poing dans la g... du type. » Pas volé.
La chaloupe. Enfin. Serrés tout de même. Une cinquantaine de personnes en trop. La fin du cauchemar. Non, il reste de la place pour une autre vision d'horreur : « La chaloupe d'à côté s'est décrochée, ils sont tous tombés. Les gilets de sauvetage étaient défectueux, les balises ne s'allumaient pas au contact de l'eau. » La sonnette de la maison lommoise des Cordier tinte. Petite accalmie dans un récit syncopé.
Les amis du couple, Daniel Debuchy et Sylvie Fougné, font leur entrée. De bons amis, Daniel et Sylvie. Au point de s'offrir une petite croisière ensemble. Pour eux non plus, ce n'est pas la grande forme. Là aussi, le Costa Concordia a laissé son empreinte. Daniel Debuchy se souvient du début du naufrage : « On était à table. La vaisselle a volé. On se demandait ce qui se passait. » Daniel marche avec une canne. Des membres du personnel l'ont évacué parmi les premiers. Parlons-en, des membres du personnel. Des caméristes, des serveurs, des mécanos originaires pour la plupart des Philippines. Les véritables héros de la catastrophe, à des années-lumière de la lâcheté du commandant Francesco Schettino. « Ces Philippins, on n'en parle pas, enrage Chantal Carlier. Je suis certaine qu'ils sont nombreux à y être restés. »
Antidépresseurs
Nouvelles larmes. Chantal se confie : « Ça fait deux fois que je vais consulter mon médecin. Il m'a donné des antidépresseurs. Je ne dors pas, je n'arrive pas à trouver le sommeil, je regarde la télé toute la nuit. J'ai rendez-vous avec un psychologue. » Les autres membres du quatuor ne vont guère mieux. Pascal aussi s'est vu prescrire des antidépresseurs. Sylvie Fougné est en arrêt de travail depuis son retour : « Ça s'appelle un traumatisme. Je suis sous calmants, assommée par des médicaments. » Daniel Debuchy s'essaie à un peu d'humour. Noir, l'humour : « Oh moi, tout va bien. J'ai juste fait un petit séjour à l'hôpital pour une anémie. Je n'avais plus de globules rouges. D'après les médecins, ça a pu être provoqué par le stress.http://www.blogger.com/img/blank.gif » Forcément, les quatre de Lomme n'ont pas l'intention d'en rester là avec les croisières Costa. Tous ont déposé plainte et refusé les 11 000 euros que propose le croisiériste en échange d'absence de poursuites.
Sylvie Fougné se fait porte-parole des autres : « Je voudrais déjà qu'on nous rembourse le montant de la croisière parce que là, ça commence à me bouffer. » Renseignements pris auprès du voyagiste choisi par le quatuor, les chèques de remboursement sont partis le 6 février et ne devraient plus tarder : environ 800 euros par tête. Une bien maigre bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher. •
Source LaVoixDuNord
Nouveaux Canots pour la SNSM
La Société nationale de sauvetage en mer va se doter de bateaux plus performants pour récupérer les naufragés.
Les bénévoles de la SNSM (Société nationale de sauvetage en mer) secourent plus de 7 000 personnes, chaque année. L'association dispose d'une flottille qui va du canot pneumatique à la vedette tous temps de 18 m. Elle lance un programme de renouvellement de ses plus grandes unités.
Hier à Paris, l'amiral Yves Lagane, président de la SNSM, et le chantier Sibiril de Carantec (Finistère) ont signé un contrat pour la construction d'un prototype. « Nous disposons d'une quarantaine d'unités tous temps dont la plus âgée a trente ans, souligne l'amiral. Il s'agit donc du lancement d'un long programme sur vingt ans. » Budget prévisionnel : 50 millions d'euros.
Le nouveau canot tous temps, conçu par l'architecte morbihanais Didier Marchand, sera lui aussi insubmersible et auto-redressable. Mais plus puissant, plus long et, surtout, plus large d'un mètre. Il sera doté d'un rostre avant, sorte d'éperon qui perce la vague, qui lui permettra de filer à 25 noeuds (45 km/h) dans une mer déjà formée.
Autre amélioration notable : l'accueil des naufragés à bord. « Nous allons disposer de deux places allongées pour traiter des noyés, et d'une quinzaine assises. » Au total, quarante personnes pourront être embarquées par l'équipage composé de huit hommes.
« D'abord navire de sauvetage, le nouveau canot évolue aussi vers un concept d'ambulance de la mer, poursuit Yves Lagane. Nos sauveteurs ont de plus en plus vocation à être aussi des secouristes. »
Après confection du moule, qui permettra de construire en série, la fabrication de la première unité pourra démarrer. « La mise à l'eau du premier navire test est prévue pour mars 2013 à l'île de Sein. »
Le Yves et François Olivaux remplacera alors le Ville de Paris, affecté depuis trente ans sur l'île bretonne. Son coût, 1,2 million d'euros, est entièrement couvert par le don de Mme Olivaux. Après son passage sur l'île, cette Niçoise avait souhaité apporter sa contribution, séduite par cette formidable solidarité des gens de mer.
Source OuestFrance
le Costa Concordia échoué pour plusieurs mois - video
Les habitants de l‘île du Giglio vont devoir s’habituer à ce drôle de paysage… L‘épave du Costa Concordia devrait rester là au moins sept mois, c’est ce qu’ont annoncé les autorités italiennes.Avant d‘être démantelé et enlevé, le paquebot doit être vidé de tout son carburant et de ses fluides moteur, opérations qui sont loin pour l’instant d’avoir commencé.“Aucun problème, déclare ce patron de restaurant, au contraire, on a tous ces touristes voyeurs qui viennent voir le bateau et le prendre en photo. Regardez combien de gens sont arrivés aujourd’hui” !“Bien ou mal pour notre île, on verra, déclare une femme. Ce qui est important, c’est qu’ils enlèvent le carburant et les autres polluants… Qu’est ce que vous voulez faire de plus ?”
Un dix-septième corps, celui d’une femme, a été découvert. Quinze personnes sont toujours portées disparues. Mais les recherches sont sans cesse interrompues par la mauvaise météo.“Nous aurions déjà pu nous arrêter de chercher il y a quelques jours, explique ce responsable de la Protection civile italienne. Nous ne l’avons pas fait car nous pensons que nous avons le devoir moral de continuer. Parce que rendre un corps à quelqu’un qui le réclame est une des règles fondamentales de l’humanité”.
Les opérations de pompage devraient commencer effectivement la semaine prochaine et pourraient durer près d’un mois.
Source EuroNews
Un trésor de trois milliards de dollars découvert au large des Etats-Unis
L’argent va-t-il couler à flots? Après des années de recherche, l’équipe de chasseurs de trésors Sub Sea Research vient d’annoncer qu’elle comptait collecter l’équivalent de trois milliards de dollars (2,27 milliards d’euros) de platine dans l’épave d’un bateau disparu au large du Massachusetts lors de la Seconde Guerre mondiale, relate le Boston Globe.
L’histoire commence en 2008. A la suite de la déclassification de documents concernant le S.S. Port Nicholson, l’équipage de Sub Sea Research sillonne alors les océans à sa recherche. Ce navire britannique très convoité a sombré en 1942 avec une cargaison de platine au large des côtes américaines. Il avait été envoyé par l’URSS en guise de paiement pour le matériel militaire américain, avant d’être torpillé par un sous-marin allemand.
La cargaison était estimée à l’époque à 53 millions de dollars. Aujourd’hui le précieux métal est côté à plus de 1.600 euros l’once (environ 31 grammes), et son extraction de l’épave devrait débuter courant février.
Sub Sea Research a attendu, avant d'annoncer sa trouvaille, d'avoir obtenu les droits sur le S.S. Port Nicholson en déposant une demande auprès d’un tribunal fédéral. En effet la propriété des épaves obéit à des règles complexes. En la matière, ce n’est pas tant le nombre d’années passées sous l’eau qui est pris en compte. L’important est que le navire soit effectivement abandonné par son propriétaire.
Or parmi les épaves fréquemment découvertes figurent souvent des bateaux coulés au cours de la Première ou de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi le S.S. Gairsoppa, un autre transport britannique torpillé en 1941, avait été retrouvé en septembre 2011. Il transportait pour 150 millions de dollars (114 millions d’euros) d’argent, une somme dont 80% devait aller à la compagnie à l’origine de la découverte, et 20% au gouvernement britannique.
Les profondeurs recèlent encore bien des trésors. Beaucoup de métaux précieux, comme l’argent ou l’or, mais aussi des richesses plus insolites. En juillet 2010 le plus vieux champagne du monde avait ainsi été découvert en mer Baltique. Ses bouteilles s’étaient négociées aux alentours de 70.000 euros.
Source SlateFr
Naufrage d'un ferry au large de la Papouasie-Nouvelle Guinée
Plus de 200 personnes ont pu être secourues après le naufrage, ce jeudi, d’un ferry au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée avec plus de 300 personnes à son bord, rapportent les autorités australiennes.
Les autorités de Papouasie-Nouvelle-Guinée ont confirmé que le MV Rabaul Queen avait sombré à 16 km au large des côtes alors qu’il effectuait une liaison entre l’île de Nouvelle Bretagne (New Britain) et la ville de Lae (nord).
L’AMSA, l’agence australienne de sécurité maritime qui participe aux opérations de secours, a annoncé que 219 personnes avaient jusqu’à présent été sauvées. Sa porte-parole, Carly Lusk, a précisé à la chaîne australienne ABC que huit bateaux, dont des navires marchands, étaient à l’œuvre, appuyés par des avions de recherche en mer.
Julia Gillard, la chef du gouvernement australien, avait déclaré auparavant que le bilan serait « probablement » élevé. « Il s’agit à l’évidence d’une tragédie majeure : 350 personnes à bord d’un bateau qui a sombré », a-t-elle dit à des journalistes à Melbourne. « Le bilan humain sera probablement très élevé », a ajouté le Premier ministre australien.
La compagnie Star Ships a perdu le contact avec le Rabaul Queen vers 6 h jeudi (20 h GMT mercredi) alors qu’il naviguait entre Kimbe et Lae, sur la côte est du pays, a indiqué à l’AFP son porte-parole, John Whitney. Selon l’AMSA, le navire a envoyé un message de détresse tôt jeudi avant de chavirer.
Dans un communiqué transmis à Reuters, la compagnie propriétaire du ferry, Rabaul Shipping, a indiqué ne disposer d’aucune information sur les circonstances de l’accident. « Est-ce la météo, une surcharge ou un élément lié au navire lui-même ? Nous ne savons pas mais nous devrions en apprendre davantage très bientôt », a déclaré Martin Mosi, directeur du Centre national des catastrophes de Papouasie-Nouvelle Guinée.
Le ministère australien des Affaires étrangères a indiqué de son côté avoir « répondu à une demande d’assistance en mobilisant des moyens aériens pour survoler la zone, et répondra à toute autre demande ».
« La compagnie maritime croit savoir qu’il n’y a pas d’étrangers à bord, mais notre Haute Commission (ambassade) s’emploie à confirmer cette information », a par ailleurs souligné un porte-parole du ministère australien.
La compagnie Star Ships, l’un des principaux opérateurs de ferries de Papouasie, dessert les nombreuses îles du pays. La baie de Kimbe, capitale de la province de Nouvelle-Bretagne occidentale, est un site de plongée réputé qui attire des touristes du monde entier.
Source OuestFrance
Agrandir le plan
Les paquebots interdits de séjour à Venise
Comme on pouvait s'y attendre, le naufrage du Costa Concordia fait de nombreuses vagues. Alors que l'épave du navire, qui s'est échoué vendredi dernier sur l'île du Giglio, menace cette réserve naturelle de la Toscane, un groupe de sénateurs italiens a réclamé au gouvernement de prendre un décret d'urgence pour « interdire aux navires de croisière et aux pétroliers géants de passer près des lieux sensibles ». Les parlementaires visent notamment les zones marines protégées, mais aussi la Venise et sa lagune. La Cité des Doges est, en effet, devenue ces dernières années l'un des principaux ports de croisière italiens, avec plus d'un million et demi de passagers accueillis par an. Venise est une escale très prisée, mais aussi, grâce à son aéroport international, un grand pôle d'embarquement de passagers pour des croisières en Adriatique, vers les îles grecques ou encore la Turquie.
Les grands paquebots accèdent à un nouveau terminal, spécialement conçu pour les accueillir, via le canal qui longe la place Saint-Marc. Profitant de la catastrophe du Concordia, les opposants vénitiens à la venue des navires de croisière géants montent logiquement au créneau. Ainsi, plusieurs associations, qui dénoncent l'impact écologique des grands navires (selon eux une dégradation des rives et des fonds, ainsi que des émissions polluantes) ont annoncé que des manifestations seraient organisées dans les prochaines semaines à chaque passage de paquebot dans le canal Saint-Marc.
Le ministre italien de l'Environnement n'a, quant à lui, pas caché sa colère. Craignant une catastrophe écologique au cas où le Concordia sombrerait définitivement devant le Giglio, Corrado Clini entend agir pour « empêcher ces navires géants de s'approcher de zones sensibles pour l'environnement ».
Source MerEtMarine
Agrandir le plan
Deux morts dans le naufrage d'un bateau de pêche au large du Calvados
Le naufrage d'un bateau de pêche à environ 10 km au nord de Port-en-Bessin (Calvados) a fait deux morts mardi vers 14 heures tandis qu'un troisième marin, d'abord recherché, n'a finalement pas embarqué, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de la Manche et de la Mer du nord.
«L'Algwastre», un chalutier en bois rouge et blanc de 9 mètres, construit en 1974 et immatriculé à Caen, emportait deux personnes à bord, un père de 57 ans et l'un de ses jeunes fils. Le chalutier était spécialisé dans la pêche à la coquille Saint-Jacques.
D'abord recherché par les secours car il était inscrit sur le rôle de l'équipage, le deuxième fils du patron-pêcheur n'avait finalement pas embarqué à bord et les recherches ont été interrompues, a précisé le lieutenant de vaisseau Christelle Haar, chargée de la communication de la préfecture maritime de la Manche et de la Mer du nord.
«Une enquête a été confiée à la gendarmerie maritime pour tenter d'élucider la cause du naufrage», a-t-elle précisé. Les conditions météorologiques étaient «très bonnes», «la mer belle» mais «l'eau n'était qu'à 8 degrés», a-t-elle ajouté.
La balise de détresse du chalutier, basé à Grandcamp-Maisy (Calvados), a été déclenchée peu avant 14 heures. Des navires de pêche situés à proximité ont été déroutés vers la zone du sinistre où les ont rejoints trois vedettes SNSM de Courseulles-sur-mer, Port-en-Bessin et Grandcamp-Maisy, ainsi qu'un hélicoptère de la Marine nationale.
Sur zone, l'hélicoptère a repéré la balise qui flottait à la surface ainsi que des débris de casiers, avant que les deux corps inanimés ne soient retrouvés et transportés à terre.
Source Liberation